Sur le vif
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Le kiff
Combien d’hommes sont venus, m’ont baisée et sont repartis ? Pas évident de trouver l’amant idéal ou un homme qui s’en rapproche ! Ces derniers mois j’ai eu l’impression d’être la libertine galérienne des rencontres éphémères. Je préfère en rire et j’assume complètement le fait d’avoir eu comme adage: « il faut laisser sa chance au produit ! » Au moins j’y ai pris du plaisir, la plupart du temps.
Je m’estime heureuse d’avoir rencontré mon collègue de co working en janvier ! J’adore les journées que nous passons ensemble à baiser, j’aime la simplicité de la relation et le fait qu’il prend régulièrement des nouvelles. J’aime moins attendre un mois pour profiter de lui et des belles jouissances qu’il m’offre. Mais je ne vais pas me plaindre, c’est une chance de vivre une telle relation.
Je voulais son clone, près de chez moi pour pouvoir en profiter à volonté. Alors, ce n’est pas son clone, mais enfin, je l’ai rencontré cet homme que je voulais dans ma vie et surtout dans mon lit. Je viens de le rencontrer il y a quelques heures, et ces quelques heures je les ai passé à discuter, rire et baiser encore et encore. J’ai trouvé mon alter ego. Cet homme qui allie proximité, disponibilité, gentillesse, savoir vivre, simplicité, envie, insatiabilité. Je suis ravie à l’idée de très vite profiter de nouveau de lui à volonté, de savourer sa queue encore et encore et déguster notre compatibilité physique jusqu’à épuisement !
Demain, je vais somnoler, sentir la fatigue et les courbatures sur mon corps. Ma chatte ressentira peut être encore les effets de sa queue en moi. Qu’importe j’ai adoré baiser ainsi et j’aime encore plus l’idée que nous allons nous branler à y repenser et que nous nous retrouverons bientôt pour de nouvelles aventures !
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D’une application à l’autre
12h52: Je prends enfin le temps de répondre au message de mon « collègue de co-working » de 9h57
13h09 : Je reçois les petits Smiley de M. BienMembré que je n’ai pas vu depuis la dernière fois que je l’ai re- re- re branlé dans sa voiture (je crois qu’il aime ça) il y a 10 jours. Je réponds à 13h16
A la même heure je profite d’être sur Whatsapp pour répondre aux différents messages envoyés vers 9h30 par mon complice de longue date qui a un problème pour visionner mes photos
13h25: M. BienMembré m’informe qu’il n’est pas loin et qu’il va passer ! 😁
13h29: L’agent immobilier m’appelle pour me dire qu’il travaille sur le compromis pour l’achat de mon futur lieu de débauche. Bla bla bla durant 7 minutes pendant lesquelles je me pare de jolie lingerie: « Je vous dérange ? -Non pas du tout ! »
13h33 Mon collègue de co-working me propose des dates ! 😁
13h35: Kevin m’envoie un message sur Skype
13h39: M. BienMembré arrive, je descend pour lui ouvrir la porte
13h40: Alors que je viens de lui ouvrir la porte en lui précisant que j’ai une réunion à 14h le technicien de la fibre appel pour me prévenir qu’il sera là dans 30 minutes !
13h42: j’envoie un message sur Telegram pour reporter la réunion Zoom de 14h
La suite: sa queue entre mes mains, sur ma langue, en moi. J’aime ces sensations, lui venant sur moi, agrippant mes seins, relevant mes jambes… J’aime le sentir profond.
13h57: Je le mets au défi de jouir en moins de 5 minutes: il s’assoit sur le pouf se branle en me regardant dans les yeux, ma langue sur son gland, mes mains saisissant ses bourses. Je pose mon pull par terre pour ne pas tacher le tapis. Il m’offre une belle giclée !
Désolée Kévin et les autres pour mon délai de réponse, il y a des fois, où une belle queue devient une priorité !
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Une pierre trois coups
Voilà des semaines que le défi était lancé: « Une photo sexy, manteau long mais pas de vêtement! » Les sorties étant rares, pas si simple à relever ! La première étape: prévoir du shopping pour acquérir le dit manteau !
Dimanche soir, l’audio de mon « voisin » me donne chaud, nous n’avons pas encore réussi à nous revoir, on voulait tenter de se croiser furtivement dans un parking, mais l’heure tardive et le couvre feu nous ferons finalement rester sages.
Lundi 11h12 « Tu veux que je passe chez toi furtivement ce midi te sucer comme lot de consolation ? »
12h38: « Ooooh oui je dirais pas non, mais j’ai beaucoup de boulot donc ça devra être rapide ! »
Plus d’une heure étant passé entre les deux messages, je ne pensais plus que la réponse serait positive !
Je prends quand même le temps d’une douche et de m’habiller… mais pas trop !
J’informe mon chéri que je pars une petite heure, il me voit mettre mon manteau directement sur mes sous vêtements !
5 minutes plus tard je suis garée devant chez lui, des personnes sont en train de sortir de l’immeuble, ce qui me permet de rentrer sans sonner. Mon téléphone pro sonne, j’hésite, je réponds quand même en sortant de l’ascenseur: « Je suis désolée, je n’ai pas de stylo (et pas de robe ;) vous pouvez me rappeler vers 14h? »
13h06 Il m’ouvre, j’enlève mon manteau, l’effet est immédiat. Je suis venue pour sa queue, je m’en délecte aussitôt ! J’aime le sentir vibrer sous ma langue ! Avec le bout de son gland il s’amuse à titiller mon téton, avant de s’engouffrer entre mes seins ! S’en suit une bonne baise efficace et une belle giclée de sperme !
On discute sous la douche, il reste 13 mn avant sa réunion. Il aura la classe de me préparer un thé avant que je m’éclipse !
On prendra plus de temps la prochaine fois et l’ascenseur et son hall d’entrée sont finalement l’idéal pour réaliser le défi !
Bonne baise, défi relevé et mari comblé d’avoir pu être témoin de ma sexcapade avec un cliché souvenir !
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Être ta pute
Je donnerai beaucoup pour vous croiser, vous rencontrer !
-Une rencontre tarifée ?
– Comment ça?
– Tu dis que tu donnerais beaucoup. Ça me ramène à mon fantasme de l’escort girl
– Si cela peut vous permettre de réaliser ce fantasme pourquoi pas, ouvert à tout type de jeu tant que cela est dans le respect
– Combien je vaux alors ?
– A vous de me donner votre tarif
– Ce n’est pas la question que je te pose
– Généralement ce sont les escorts qui donnent leurs tarifs
-Oui mais moi mon trip c’est de savoir combien tu es prêt à payer?
– Je propose 300 pour une heureIl y a des fantasmes qui peuvent être puissants par l’adrénaline qu’ils procurent, celui de l’escort gril en est un.
Je me suis posé beaucoup de questions sur le sujet, il y a plusieurs années déjà, et mes conclusions sont toujours les mêmes: ce qui m’intéresse ce n’est pas l’argent pour l’argent, mais ce que celui ci provoque dans mon esprit, l’idée que si tu me paies, tu as envie d’en avoir pour ton argent, que tu vas bien me baiser comme une chienne. L’idée que tu me souhaiteras très salope, que pour te satisfaire, je serai peut être prête à dépasser mes limites.Etre libertine, ça n’a pas de prix, mais ça a assurément un coût, et entre la jolie lingerie, les sorties en sauna ou en club ou les chambres d’hôtel, cela peut faire un beau budget! Alors pourquoi ne pas accepter cette offre, non pas par nécessité, mais par plaisir et pour tous les plaisirs que je pourrais ainsi m’offrir. Un équilibre en quelque sorte, et le sentiment que ce que je peux t’apporter à une réelle valeur, bien plus que financière. Celle d’une bulle de plaisir, intense ou sensuelle, selon l’envie. Une décadence physique et intellectuelle, et mettre tout en œuvre, pour que tu sois comblé, que la réalité soit à la hauteur de ton fantasme… voilà ce qui me plait et m’excite!
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Fast fuck
J’ai pris ma journée à l’occasion d’un rendez-vous sur Paris le matin. Mon bel amant ne peut finalement pas se libérer l’après midi mais nous convenons de nous retrouver une heure près de la gare j’ai tout de même envie de me faire belle et sexy pour lui.
14h45 je viens de rentrer chez moi, je m’installe devant mon ordinateur , voilà des jours que je regarde les profils Wyylde en vue d’assouvir les envies candaulistes de mon homme, non sans provoquer en moi régulièrement de l’excitation.
15h L. est en ligne, son profil a depuis quelques temps retenu mon attention ! Un homme charmant, très classe avec un corps bien musclé. Un physique très attirant. Niveau conversation, le jeune homme est plutôt direct, son « Très envie de prendre Madame » d’il y deux jours était sans équivoque. C’est peut-être ça qu’il me faut, un corps à corps torride plutôt que des discussions qui traînent en longueur et ne mènent nul part. Je suis en tout cas très excitée au moment où il me propose de me donner son adresse. J’ai envie, mais j’hésite. Je veux dans tous les cas l’aval de mon homme.
15h15 Il valide, je prends les clés de la voiture et la direction de l’adresse indiquée. Il me dit qu’il m’attend dans sa chambre, je lui demande de garder quelque chose à enlever. J’aime cette adrénaline au volant de la voiture.
15h35: Je me gare et suis les instructions envoyées par SMS, au fond de la cour à droite, 1er étage à gauche. La porte est entre ouverte ! J’entre, la pièce est vide, je lui dit « Bonjour » au loin en enlevant mes bottes avant de le rejoindre dans la chambre. Il est allongé dans son lit et caresse sa queue déjà bien dure ! Son corps bien dessiné, il est en plus beau gosse.
Il se lève fait glisser ma robe découvrant la jolie lingerie et les bas que j’avais mis pour mon bel amant ! Cette tenue sexy a sans doute contribué à ma présence ici et maintenant. Il enlève mon soutien gorge, caresse mes seins. De mon côté je caresse sa queue dans son boxer avant de la délivrer et de me mettre à genoux pour en prendre possession. Je le prends en pleine bouche, ma langue titillant son gland. Il semble aimer. « Ça se voit que tu aimes ça ! » Il fait glisser ma culotte et ses doigts sur mon intimité: « Mais tu es déjà toute trempée ! » s’étonne t il.
« Parce que tu crois que je peux sucer une queue sans être toute excitée ? »
15h45: Je lui propose de s’allonger: « Tu veux t’empaler sur moi ? » Non, je veux juste jouer encore avec sa virilité, avec mes mains, ma bouche, mes seins. Il baise littéralement ma bouche: « Je pourrais rester comme ça pendant des heures ! »
-Alors profites en autant que tu veux ! »
Il pourrait aller jusqu’à la jouissance comme ça, mais il a quand même envie de me baiser ! Il se pare d’un préservatif. « Dans quelle position est-ce que tu veux que je te prenne? »
Je m’allonge, je le veux sur moi pour le voir, les jambes relevées pour mieux le sentir ! Sa queue me donnant des assaults: « Alors comme ça tu aimes baiser avec un inconnu ? «
Oui j’aime assumer ce brin de folie, être salope et suivre mes envies, avoir envie d’un beau corps, d’une belle queue. Sans blabla, ne pas me prendre la tête, aller à l’essentiel, du sexe pur, presque animal, et ces mots que nous échangeons pour faire connaissance pendant qu’on baise sont très excitants!
« Use moi autant que tu veux ! »
« Viens que je te prennes en levrette, que je te baise comme une chienne ! »
Ses coups de reins sont vifs, je savoure chacun de ses assauts ! Il profite de moi à sa guise pour notre plus grand plaisir ! Il sent qu’il a envie de jouir. Il se retire, enlève son préservatif : « Où est-ce que tu veux que je jouisse ? » Je m’allonge et lui suggère mes seins. J’approche ma bouche du bout de son gland, ma main droite sur mon clito, la gauche sur mon téton. « Tu te caresses souvent comme ça ? » semble t il s’étonner de mon initiative ! Nous nous mettons en branle à l’unisson jusqu’à ce que son foutre chaud gicle sur mes seins.
16h15: « ça fait du bien ce genre de pause dans une journée de télétravail ! » il regarde sa montre, « J’ai une réunion à 16h30, timing parfait ! » Étonnement nous prenons le temps de nous découvrir brièvement, d’échanger sur nos boulots respectifs, tout en nous rhabillant ! Je le trouve classe ! « En ce moment je suis à la maison très souvent en journée, tu reviens quand tu veux ! »
16h27: Je reprends la route détendue, le sourire aux lèvres, je vais même pouvoir rentrer tôt et aller chercher les enfants à l’école.
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Ne jamais vendre la peau de l’amant avant de l’avoir baisé
Ma récente expérience sur Wyylde n’ayant pas été parfaite, cela a donné l’envie à mon homme de s’impliquer davantage dans mes rencontres et nous en sommes arrivés à créer une fiche couple avec un abonnement pour trois mois afin d’assouvir les envies de candaulisme ou de rencontre avec un couple.
Dès que nous nous connectons les sollicitations affluent et nous voilà à réfléchir sur qui nous sommes, ce que nous voulons, à échanger sur ces hommes et ces femmes et ouvrir le champ des possibles. Nous filtrons avec nos critères pour faire ressortir les profils susceptibles de nous plaire. Nous sélectionnons certaines de nos photos pour accompagner notre fiche. Nous avons déjà quelques retours d’hommes seuls surtout qui aimeraient bien « s’occuper de Madame ». Quelques couples aussi à qui nous ouvrons nos albums, certains nous disant que la magie n’a pas opéré. Peut être que nos photos de vacances ne sont pas les plus appropriées pour ce genre de site. L’impression parfois de montagnes russes, entre plaisir et déception, selon les profils. J’ai beau être une libertine expérimentée, on ne peut pas plaire à tout le monde, et s’exposer ainsi sur un site c’est se confronter aux compliments et aux refus.
Puis il y a C. 38 ans beau brun barbu, il est de la ville d’à côté, les photos sont attrayantes, l’échange fluide, il correspond à ce que je recherche. Il habite à côté de mon bureau et peut prendre 2h pour la pause déjeuner, comme moi. J’en parle à mon homme, lui demande s’il veut être là ou si je peux d’abord organiser une rencontre seule pour valider mon choix. Je sais qu’il veut me voir qu’avec des amants qui me baisent bien. Le midi ça peut être très pratique.
J’informe donc C. que notre rencontre peut s’organiser:
-Après à voir quel format tu préfères pour une première rencontre, pause déjeuner ou soirée?
-Une pause déjeuner peut-être pas mal je pense, cela change ;)
-Oui ! Si ça ne te dérange pas que je sois en jean basket ? D’ailleurs ce serait envisageable ce midi si jamais… ;)Me voilà donc en tenue pas très sexy arrivant sous la pluie avec mon vélo devant chez lui. Nous nous installons sur le canapé pour faire connaissance, l’homme est charmant, et se plaît à découvrir le milieu libertin après une séparation. Nous prenons le temps de nous raconter brièvement qui nous sommes et j’explique comment j’ai franchi le pas du libertinage. Je suis séduite par ce qu’il est et de la perspective de pouvoir le voir facilement. Nous perdons un peu la notion du temps, le portable affiche 13h10 lorsqu’il m’informe que de son côté il s’est libéré de ses obligations professionnelles pour l’après-midi. Je ne peux malheureusement pas en faire autant, mais je me dis que peu importe, il me sera facile de revenir. C. prend l’initiative de m’embrasser, j’apprécie son audace, je me dis que si je lui plaît en jean basket, il devrait apprécier les tenues plus affriolantes, je me laisse aller à quelques baisers, pour autant je sais que le temps est compté et ce qu’il dégage me donne envie de prendre le temps d’en profiter, et pas de le « consommer » comme un fast food. Je ralentie nos ébats en lui disant que je n’aimerai pas le frustrer. Il enlève mon pull, pour découvrir ma jolie lingerie, nous poursuivons nos baisers, j’apprécie, je déboutonne le premier bouton de sa chemise mais je reste sur la retenue, voulant réserver la découverte de son corps pour un prochain round. Il semble comprendre ma volonté, nous rediscutons de nos expériences libertines, il me parle notamment de sa première expérience avec un couple, je lui explique brièvement les grandes lignes des envies candaulistes de mon chéri, lorsque d’un coup il fronce les sourcils, se tient le crâne et me dit: « Ah je suis désolé, mais je me rends compte que j’ai mon mal de crâne qui revient, ça fait 2 jours que je dors mal. Je crois que j’ai besoin de me reposer ».
Compréhensive, je me lève, récupère mes affaires et le laisse, de toute façon je préfère avoir le temps une autre fois pour mieux le découvrir.
Mais une fois dehors, je réalise qu’à trop avoir eu peur de la frustration, il ne s’est presque rien passé, et que c’est… frustrant!À une autre époque je pense que je n’aurais pas hésité à faire tomber les vêtements et monter la température, à le prendre en bouche peut être… Et c’est probablement ce qu’il aurait voulu ! J’ai l’impression d’être trop restée sur la réserve et je réalise surtout que finalement il m’a mise dehors alors qu’il me restait du temps ! Est-ce ce que sa migraine n’était finalement pas un prétexte ? Je ressors avec l’envie d’aller plus loin avec lui, mais aussi avec des doutes: Aura-t-il envie de me revoir ?
Son message bref dans l’après midi et son absence de réponse quelques jours plus tard ne me laissent plus de grand espoir. J’ai embrassé la perspective d’avoir trouvé l’amant idéal pour agrémenter quelques pauses déjeuners ! Mais il faut croire que la proximité et la simplicité ne suffisent pas, il m’aura manqué l’audace d’antan.
Après, s’il n’est même pas capable d’assumer ses choix et de dire clairement qu’il ne partage pas mon envie d’aller plus loin, c’est sans regret, et puis cette aventure aura eu pour bienfaits d’imaginer d’autres perspectives pour mes pauses déjeuners avec des complices de bien meilleure qualité !
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Proposition indécente ?
Et si on s’inventait des bulles d’évasion ?
Des moments d’exception suspendus au milieu de notre routine quotidienne ?
Des parenthèses où tous les scenarii et les envies seraient possibles ?
Des espaces de liberté au milieu de nos journées de travail. Des pauses déjeuners coquines regulières pour laisser libre court à nos envies ?
Entre une et une heure trente où nos corps s’abandonneraient à la folie…
Pas de chichi, pas de blabla, juste laisser parler nos corps et nos envies…
Avec des thématiques à chaque rendez-vous : cunni, fellation, bandeau, attachement, sextoy…
A trois, à deux ou quatre ?
Explorer le monde des possibles, les recoins de nos désirs, et du plaisir à chaque fois, simple ou pimenté, tout m’ira.
Envie d’être cette sexdoll qui vous apportera ces souvenirs indécents qui vous donneront le sourire lors de vos longues réunions de l’après midi…
Dites oui ! -
Ces questions existentielles
Je n’ai pas encore 40 ans, mais je m’en approche, et je crois que depuis la naissance de mon deuxième enfant, et ce sentiment d’avoir atteint mon objectif de vie, je suis dans cette « crise » de la quarantaine. A mi chemin de ma vie, à mi-chemin de mes réflexions, de mes envies. Faire le bilan de ce que j’ai accompli, ce que j’ai peut être raté aussi, et pouvoir encore me dire que je peux choisir une direction, donner une impulsion, donner un sens, un cap, au reste de ma vie.
A l’âge de 9 ans, j’ai fait un malaise et perdu connaissance, j’ai pris d’un coup conscience de la mort, j’ai serré fort mes parents dans mes bras, en ayant conscience qu’un jour ils ne seraient plus là. (cela fait désormais plus de la moitié de ma vie que mon papa est ma bonne étoile) J’ai tremblé aussi, seule sous mes draps à avoir peur de mourir, à avoir peur de vieillir, à avoir peur de cette période de ma vie où l’avenir serait moindre que le temps déjà écoulé. De ma vision de petite fille, je me suis souhaitée de mourir jeune, sans souffrance, aux alentours des 35 ans, pour ne pas avoir à me voir vieillir, et avoir cette jeunesse éternelle. J’ai appris à vivre avec ces peurs, à finalement mieux profiter des secondes qui passent. Voilà pourquoi depuis ces 35 ans, et cette maturité acquise je veux encore plus vivre, et je me cherche un nouveau cap, et imagine pourquoi pas la création d’une entreprise. 18 ans déjà que je vis avec mon homme et je me dis parfois, que je me suis laissée porter, que j’ai mis de côté la maison de campagne où j’aimais aller en vacances pendant mon adolescence, j’ai délaissé ce piano, qui sert aujourd’hui de meuble sur lequel on pose les photos et les papiers. J’ai l’impression de ne plus avoir de personnalité, à ne plus choisir le programme télé. Et tout ceci m’épuise, car à trop chercher un ailleurs, ou à voir ce que je ne fais pas, j’en oublie parfois le présent, ce présent si important et précieux à mes yeux.
Mon présent, ce sont ces petits bonheurs que je me suis construits , ces sourires, ces câlins, les histoires du soir, les massages avant le couché des enfants, les petits bobos, les séries télés regardées auprès de mon homme (même si je ne les choisis pas), les restaurants, les spectacles, une balade en forêt, le soleil sur la peau, la musique, les carrés de chocolats, la douceur d’une caresse, le bruit de l’eau, me plonger dans son regard, rire de ses blagues, le serrer dans mes bras, le pouvoir des mots. Ces soirées d’exception, ces rencontres que j’ai su créer et raconter, ces choses simples, banales qui accumulées les unes aux autres font de moi une femme simple, mais une fille, sœur, épouse, amante, et maman heureuse et épanouie, pas si banale que ça finalement.
Profiter du présent, de ce cadeau de la vie, c’est la plus belle chose que la vie m’a apprise à l’âge de 9 ans, profiter de tout ce que la vie peut nous offrir qu’importe ce que les autres en pense, qu’importe si pour d’autres ce n’est pas concevable. Ma sexualité, ma liberté, c’est la vie que j’ai choisie, celle qui me permet d’exister et de vivre plusieurs vies en une seule. Vivre et vibrer, intensément dès que possible, ça n’a pas de prix!
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Je me suis faite baisée
Son approche est un copié collé, je ne suis pas dupe, mais il a le mérite de me faire sourire. Il écrit bien, semble cultivé, m’envoie un texte qu’il m’invite à lire.
Le feeling est bon. Il écrit relativement bien, n’habite pas loin, je n’y vais pas par 4 chemins, je lui propose de se rencontrer. Il me précise qu’il peut recevoir, ça me convient, il poursuit:
« Il me semble que nous ayons un accord, Je souhaiterais faire de vous mon objet sexuel. Êtes vous d accord?
– Si le feeling se confirme, je crois que ça me ferait plaisir
– Vous viendrez en robe (ou jupe) et talon
A votre arrivée vous devrez choisir…. »Je devine qu’il va me proposer une rencontre à l’aveugle. Le jeu peut être excitant. Il me dit qu’il faudra que je lui précise mes limites et un safe word. Il semble expérimenté.
Dans la journée, je suis excitée à l’idée de ce rendez-vous. Il me demande de lui montrer 3 robes et paires de chaussures, il m’indique son choix.
« Vous demanderez à votre homme de choisir vos sous vêtements »L’heure arrive, j’ai toutes les indications. La porte du bas est entre-ouverte grâce à un rouleau vide de papier toilettes qui bloque la porte. Au premier étage, un bandeau est sur la poignée de la porte. Je choisi de le mettre. Il ouvre la porte, me dit bonjour, m’attrape les mains pour me guider dans son salon.
Il me fait remarquer que j’ai mis le bandeau « Sinon à quoi bon ? » lui dis-je. « Elles le font toutes ! » Sa voix est agréable, il met de la musique, soulève ma robe pour voir ce que mon homme a choisi comme dessous. Me demande de me mettre à genoux, il a prévu un petit coussin pour que ce soit plus confortable. Il sort une petite bouteille du frais et la passe furtivement sur mon décolleté. J’entends le bouchon sauter, il me tends un verre et trinque à notre rencontre. Je bois une gorgée. Il me demande de me cambrer, caresse mes fesses, puis claque et recarresse. Il prend un fouet commence à l’utiliser sur mes fesses me demande si ça va. Je lui dit que si nécessaire je dirais « stop ». Il baisse ma culotte, ma robe, enlève mon soutien gorge, me caresse rapidement, me demande si j’ai les tétons sensibles, je l’entends aller chercher des accessoires. Il me met un collier autour du cou, une laisse. Il prend un vibro qu’il positionne sur mon clito, j’en ressens les premiers effets, je me tortille, il m’interdit de jouir, ça ne dure de toute façon pas assez longtemps. Il s’installe devant moi, ses jambes m’encerclent: « vas-y fais moi bander ! » Je sens un jean, je parcours de mes mains son entrejambe. J’ai d’abord du mal à travers son pantalon à sentir sa queue. Elle était bien cachée en dessous. J’ouvre son pantalon, mes mains se mettent à l’œuvre, puis ma bouche. Je m’applique, et en même temps je constate que l’alchimie n’est pas là, il y a une petite odeur qui se dégage de son corps ou de ses vêtements qui ne me plaît pas. Il bande, me demande de lui tendre les mains, y verse du gel et me dit: » Quitte à le prendre en main, autant bien le faire ! » Son membre glisse très bien entre mes mains, mais le produit a une odeur et un goût pas très agréable en bouche. J’approche alors ma poitrine pour une branlette espagnole. « Très bonne initiative » Après quelques instants je peux de nouveau le sucer, il veux être bien dur pour bien me prendre ensuite. Je sens que je suis trop sensuelle, trop douce à son goût. Il va chercher de quoi m’attacher les mains dans le dos: « Vas y avale bien, encore… Plus profond, encore… » Je passse ma langue en dessous de sa queue, il s’enfonce plus profondément en montrant plus de satisfaction: « Voilà comme ça, et surtout n’avale pas ta salive, crache tout sur ma queue. » Je repousse les limites de ma zone de confort, je ne peux pas dire que j’aime ça, mais je vis ça comme une expérience, et je constate qu’effectivement, il apprécie. Il enfonce encore plusieurs fois son membre au plus profond de ma gorge en me faisant déglutir, cracher, j’ai la bouche dégoulinante « Là tu vois tu es une belle salope qu’on a envie de baiser!«
Il me demande ensuite de me mettre en levrette sur le canapé, il prend quelques instants et me pénètre ainsi. « Tu l’aimes bien ma bite? » Je dis oui, même si j’ai déjà eu mieux. J’essaie de profiter et d’apprécier ses coûts de reins, après tout, c’est pour ça que je suis venue.
Il me guide dans la chambre, me remets à quatre pattes et me rebaise. Puis j’entends un bout de plastique. Il s’allonge et me demande de m’approcher de lui. Il veut que je le resuce, cette fois sans les mains dans le dos. Je m’exécute, et en même temps, je m’interroge sur la situation: il a une voix agréable, mais c’est peut-être la seule chose que j’apprécie. La mauvaise odeur , l’inconfort qui se dégage de la situation, cette façon, je dois dire prévisible qu’il a de penser surtout à son plaisir. Je me demande à quoi il ressemble et quand je vais le découvrir, et si ça pourrait me faire changer d’impression sur ce qui se passe et sur le fait qu’il y a peu de chance que j’ai envie de revenir.
Je n’ai pas eu à me poser ces questions très longtemps, il a semblé avoir eu du plaisir, sans pour autant éjaculer et là il me dit d’un ton sec: « Tu peux enlever ton masque, les accessoires, te rhabiller et y aller !«
Je découvre alors un homme pas du tout à mon goût, un appartement miteux, du bazar partout, rien qui ne me retienne c’est évident.
Je crois qu’il a de la chance que les filles choisissent le bandeau car sinon, il n’aurait aucune chance de conclure. C’est certain que j’aurai probablement aimé que ça prenne une autre tournure, j’ai été libre à chaque instant de mes choix et je les assume, bons ou mauvais, c’est une expérience. J’aurai eu plus de plaisir à imaginer la rencontre quʼà la vivre. Il n’y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe jamais! -
Retour à la case Lilou
Je teste des choses, je tourne en rond, je me cherche, me pose des questions existentielles. Je bataille avec moi même depuis des mois pour essayer de faire naître cette femme entrepreneuse qui est en moi! Et si c’était aussi simple que d’entreprendre un homme j’aurai déjà un numéro dans la poche… de SIRET!
Je tourne en rond avec mes envies, ma double ou triple vie, le côté sage, le côté sexy, et la personne au milieu. Co-exister, co-habiter, co créer avec toutes mes identités!
Des comptes Facebook, Twitter ou Insta perso, pro, sexy… des contacts à la pelle, à ne surtout pas mélanger, manipuler le clavier avec précaution. Passer d’un téléphone à un autre, d’un écran à l’autre. L’ordi pro, perso, de bureau. Glisser mes doigts sur les claviers, flirter sur la toile, être convoitée par les hommes ou les marketeurs qui veulent me proposer leur dernière formation marketing ou leur super outil pour générer du trafic, des leads, faciliter la prospection!Et puis se rendre compte que certaines choses ne sont pas pour moi, que dans ce monde là aussi, j’ai besoin d’être moi, que démarcher, prospecter n’a jamais été ma façon de faire, ma façon d’être. J’ai toujours réussi à provoquer mes envies, je trouverai bien le moyen de faire naître mon projet. Quel qu’il soit. A chaque fois que mon cerveau part en ébullition, à chaque fois que j’écoute mon intuition, à chaque fois que je cherche cette vibration, c’est ici que je reviens, car Lilou est l’une des plus belles aventures de ma vie, et c’est elle qui me pousse à réaliser mes rêves à concrétiser mes envies, et je crois qu’il faut que j’accepte que je ne peux pas entreprendre sans elle et qu’il faudra forcément une petite touche sexy!
To be continued…Crédit photo Pierre Emmanuel Rastoin.
NB: Merci à M. pour ton écoute et ton précieux temps!