Sexualité
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Protégé : Envie de toi
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Salope?
Salope, ce mot est souvent associé à une insulte, un terme dévalorisant qualifiant une femme. Mais que signifie t-il vraiment ? Au delà de la vulgarité, j’avoue que personnellement, je ne suis pas insensible à l’usage de ce mot au cours de mes ébats !
La vie à deux n’est pas toujours douceur et sensualité, et les mots crus, peuvent venir pimenter très agréablement la sexualité. Pourquoi se voiler la face ? J’aime le sexe et ne vois aucun inconvénient à le dire clairement, j’aime le sucer, me faire lécher, me faire prendre ardemment dans diverses positions. J’aime lorsqu’il me pénètre profondément. J’aime lorsqu’il me dit à l’oreille: “T’aimes te faire baiser, hein?” Je lui réponds alors toute excitée, que j’adore ça.
Oui, ça m’excite d’être son objet sexuel, d’être là uniquement pour son plaisir. Satisfaire ses envies, jouer avec son excitation, ses désirs. Et les miens aussi, car ce n’est pas à sens unique ! Rien de tel qu’un petit “Défonce-moi” pour que notre corps à corps atteigne des sommets ! Si tout ça fait de moi une salope, alors oui, je l’assume, je suis une salope.
Mais finalement ça me plait d’être cette femme qui l’excite, celle qui lui donne du plaisir. Une femme qu’il aime et qu’il respecte.
Article publié sur Ladies Room à l’occasion de la journée « Fesse Cachée »
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Que reste-t-il?
La plupart de mes journées commencent de la même façon, je me lève, prend la direction de la salle de bain, prend une douche, m’habille, me lave les dents, me coiffe, met mes chaussures, prend mon sac, fait un bisou à mon homme qui dort encore en lui souhaitant une bonne journée, ferme la porte, marche jusqu’à l’arrêt de bus, puis prend le métro…
Les journées se suivent et se ressemblent. Ces habitudes sont une routine. Les jours, les mois et les années passent et que reste-t-il au bout du compte?
Je suis encore jeune, mais déjà je vois le temps qui passe! Aujourd’hui, ma vie est bien différente qu’à 18 ans, où je venais d’avoir le bac et je vivais chez mes parents. Ma vie pouvait prendre n’importe quelle direction! Et finalement lorsque je me replonge huit ans en arrière, je ne pense pas à toutes ces petites habitudes que j’avais dès le réveil!
Je repense à lui qui m’a fait vivre mes premiers émois. Je revois son sourire, son regard. J’entends ses paroles. Je me revois dans cet appartement, me mettre à nue pour la première fois devant un homme. Me rapprocher de lui, le toucher, le sentir, le carresser, et le laisser parcourir mon corps à son tour. Etre séduite, ennivrée, se laisser aller dans un tourbillon de folie. Sentir le poids de son corps sur moi, son sexe en moi. La respiration halletante, le regard expressif.
Et tout ce qui constituait mon quotidien? Presque évaporé… Par ce qu’au fond, à mes yeux ce qui compte, ce sont ces petits moments de magie. Ceux remplis d’amour, et d’émotion. Des moments intenses où l’on est charmé, séduit, enivré, où l’on se donne à l’autre, où l’on veut plaire, jouer, découvrir l’autre.
Aujourd’hui, je mène mon petit « train train quotidien », mais heureusement, sur mon chemin, il y a toujours des instants de vives émotions, d’amitiés, de complicité, d’amour et de séduction. Et même si parfois, je m’amuse à jouer avec les limites, je ne renoncerai à ces moments d’exceptions pour rien au monde, car je sais que ce sont ceux dont je me souviendrai! Et au fond il n’y a rien de mieux que de mettre du « piquant » dans sa vie!
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Petite envie…
Je ne sais pas pourquoi, je me suis réveillée repensant à cette fois, où tu étais dans la cuisine, en train de préparer à manger, et où nous discutions tranquillement. Je me suis rendue compte que ce jour là, nous avons peut être un peu trop discuté. En réalité, j’aurai préféré qu’au lieu de t’occuper de la cuisine, tu t’occupes un peu de moi. Je nous aurais bien vu débuter un joli corps à corps dans cette cuisine, pour ensuite continuer sur le canapé, ou dans la chambre.
Seulement, je n’ai rien tenté. Je n’ai pas oser. Je suis restée là avec ma petite serviette autour de la poitrine à te regarder éplucher des pommes de terre. Gardant au fond de moi cette envie. Et soudain, quelques jours plus tard, au petit matin cette envie resurgit! D’un seul coup je me dis que j’ai été bien bête, que j’aurai du prendre des initiatives. Qu’avec quelques arguments et un peu de conviction, j’aurai pu arriver à mes fins…
Je m’imagine déjà me rapprocher dangereusement de toi. Me frotter contre toi. Puis me retourner, pour permettre à mes fesses de venir sentir ton sexe durcir. Venir avec ma main caresser ton boxer, avant de te regarder dans les yeux et descendre en m’agenouillant au plus près de ton nombril. Libérer cette raideur de son écrin, avant d’y déposer délicatement mes lèvres et ensuite te prendre plus volontiers en bouche…
Et voilà, comment dès le petit matin, j’ai eu une envie irrésistible de te sucer… Une idée qui m’a accompagné jusqu’au soir…
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Mon stylo bien aimé…
Vous vous souvenez des stylos bic quatre couleur qu’on avait à l’école quand on était petit… et bien figurez vous qu’un jour j’ai fait l’acquisition d’un stylo de ce genre, mais avec non pas 4 mais 12 couleurs! La taille était donc un peu plus large et plus longue, un peu comme l’illustration ci dessus, même si ce n’est pas tout à fait le modèle que j’avais.
Toujours est il qu’à l’adolescence, au moment de la découverte de mon corps et de mes premières caresses, j’eus un jour l’idée de transformer ce super stylo en objet de plaisir… Je ne sais pas d’où m’est venu cette idée, mais en tout cas, ce stylo s’avéra idéal pour une introduction en douceur avec son embout fuselé. Sa longueur et sa largeur s’adaptait parfaitement à mon anatomie.
Ce fut un vrai délice de découvrir pour la première fois, de façon aussi douce et délicate ce plaisir. J’y ai vite pris goût au point d’enlever toutes les mines du stylos, et de ne l’utiliser que pour mes petits plaisirs solitaires. Toujours à portée de main, « ce sextoy malgré lui » fut pendant longtemps mon meilleur compagnon…
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Mise en bouche…
Tout commence par quelques mots glissés dans le creux de ton oreille, d’une voix douce et délicate. Comme un appel aux désirs. L’imagination s’égare vers les fantasmes les plus fous et ne peut qu’accroitre l’envie naissante. Déjà je sens les premiers frémissements de ta verge entre mes doigts qui n’osent que frôler ton intimité.
Tu aimes lorsque je suis d’humeur coquine, car tu sais qu’alors l’excitation est à son paroxysme et qu’il ne suffit que de quelques instants pour me faire frémir! Mais tu sais que je suis joueuse et que j’aime les mises en bouche! Alors que ma main se fait plus insistante en caresse, je viens titiller le lobe de ton oreille. Puis je me met en quête de ton doigt, que je m’empresse de lécher avant de le prendre en bouche. D’abord avec délicatesse, puis avec plus d’entrain. Je sens ta main appuyer sur ma tête, mais rien n’y fait, je continue à parcourir ton doigt du bout de ma langue.
Puis enfin mes baisers parcourent ta poitrine et mon souffle chaud vient durcir davantage ton sexe que je libère enfin de son écrin. Mes lèvres viennent délicatement se poser sur cette veine qui se gonfle avant de remonter vers ton gland pour enfin lui apporter toute mon attention.J’aime explorer du bout de ma langue les endroits les plus sensibles de ton anatomie tout en écoutant tes petits gémissements de plaisir, avant que tu n’insistes, n’en pouvant plus, à m’entrainer dans un corps à corps rythmé, où chacun de tes mouvements nous mènent vers le plaisir avant de finir en apothéose pour ne laisser place qu’à un délicieux sentiment de bien être!
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Grrrrrrr!
Mais pourquoi je n’ai pas de baignoire? -
Surprise en pleine action…
Parfois, l’envie est là, et on ne sait pas pourquoi, quoiqu’on fasse, on ne peut pas y résister. Ordinateur allumé, je n’ai pu que me laisser aller, à une petite promenade érotico-virtuelle qui ne fit que me conforter dans mon idée… lorsque d’un coup, l’un de mes contacts vient me demander: « Tu fais quoi là? »Puis-je lui avouer que ma main est partie se perdre vers mon intimité? Je ne crois pas que ce soit approprié, je fais diversion et reste donc évasive avouant tout juste « je suis dans mon lit, l’ordinateur sur les genoux » Mon interlocuteur ne m’en demande pas plus, et ignore certainement la raison de mon silence qui suivi…
Cependant une seconde interruption allait cette fois ci perturber davantage mon plaisir! Un bruit de clé dans la serrure: le retour de mon homme à la maison! Au départ frustrée de n’avoir pu aller au bout de mon plaisir, je décide finalement de profiter de la situation, et de demander à mon homme une petite contribution!
Je crois qu’il a vite compris que j’avais déjà commencé toute seule, et ce ne fit qu’accroitre son excitation! Qu’il fut bon de partager ce plaisir puis cette jouissance avec lui!
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Mon petit plaisir…
Ce matin en me réveillant, je fus animée par une douce envie de volupté et de plaisir. Seule, je restai donc bien confortablement installée sous la chaleur de la couette, et me laissai envahir par d’agréables pensées…Allongée sur le ventre, je me recroqueville sur moi-même comme pour m’enfermer dans un cocon de volupté, propice à un plaisir égoïste dont je connais si bien le secret. Ces pensées ne tardent pas à me faire de l’effet!
Instinctivement, mes mains se mettent à parcourir doucement mon corps: ma poitrine, mon ventre, puis mon entrejambe. J’aime prendre le temps de me caresser à travers ma petite culotte, ne pas l’enlever tout de suite, pour contenir l’envie et faire monter l’excitation. Mon majeur sait parfaitement comment alterner les douces caresses et les petits mouvements plus insistants autour de mes lèvres. Puis il finit par se glisser dans ma petite culotte, s’imprégnant aussitôt de mon humidité.
Le plaisir est bien au rendez-vous et qu’il est bon de jouer avec mon bouton d’amour, de faire monter l’excitation sans aller jusqu’à la jouissance pour en profiter encore et encore. Je me pince les lèvres et me plonge dans mes pensées les plus coquines. Mon plaisir mentale, est en parfaite adéquation avec mon plaisir physique. Il ne me reste plus qu’à décider de l’instant où, comme une délivrance, je laisse mon excitation prendre le dessus et m’emmener vers les frissons les plus intenses. Je savoure ce moment d’abandon…
Qu’il est bon de se réveiller en pensant à toi!
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Petite inititative…
La sexualité a quelque chose de passionnant. C’est un merveilleux instrument pour rompre avec la monotonie qui peut parfois s’installer dans la vie de couple… Car en matière de câlins, même après des années de relation on peut toujours découvrir de nouvelles choses.Hier soir, au couché, moment privilégié pour un peu de tendresse, mon homme m’embrassa et me caressa les cheveux, puis, il appuya sur ma tête , en me glissant à l’oreille tendrement: « J’aimerai bien que tu me suces, un petit peu »
« Si je veux d’abord! » Car pour moi il est primordial de ne sentir aucune contrainte, surtout lorsqu’il s’agit de plaisir! Et puis c’est aussi un petit jeu entre nous, car par mon refus, je lui donne encore plus envie, et surtout je lui fait réaliser qu’il est à la merci de mes désirs, et non le contraire! ;)
Je le fis patienter donc, mais je ne pu résister longtemps à l’idée de lui procurer du plaisir! Seulement, peut être inspirée, ou simplement emportée par mon état d’esprit du moment, je me mis à prendre de nouvelles initiatives et proposa à mon homme quelques petites variations, qui ne le laissèrent pas insensible…
A tel point qu’il me glissa à l’oreille que c’était là, le plaisir le plus intense que je lui ai jamais procuré, et il se demanda même, comment j’avais pu avoir l’idée d’innover de cette façon…
Il y a encore pourtant tant de choses à découvrir…
