Sexualité
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En silence
Mon homme travaille devant son ordinateur dans la chambre à quelques mètres à peine de moi, la porte est ouverte, je suis sur le canapé, l’ordinateur sur mes genoux. Il s’étonne de mon silence. Pourtant, je suis persuadée qu’il se doute de ce que celui-ci peut signifier…
Oui, souvent, lorsque je suis silencieuse ainsi, c’est que je me perds sur la toile et que mon regard se pose sur des photos, vidéos ou textes coquins. Ainsi, seule, mes pensées s’évadent, mes envies bouillonnent et bientôt mes mains s’aventurent sur mon corps.
Oui, isolée, sans un bruit, je m’abandonne au plaisir. Oui, mon homme aimerait certainement entendre les indices de mon plaisir, et quelques gémissements que je pourrais laisser échapper…Non, dans ces cas là, ce que je veux c’est m’abandonner exclusivement à mes nombreuses pensées indécentes, imaginer mes envies les plus folles se réaliser, et jouir égoïstement avec intensité.
Après, peut être, il me baisera…
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Protégé : A l’improviste
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Protégé : Et puis un jour…
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Protégé : La limite
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Protégé : Noeud après noeud…
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Révélation
J’aime ces moments après le plaisir, où l’on se fait de délicieuses petites confidences coquines. Depuis le début de la soirée il me raconte ses aventures, et alors que je viens de goûter aux effets de ses doigts en moi ou de sa langue sur mon clito, il me raconte la première fois qu’il a prodigué ces plaisirs à une femme. Il continue son récit: « Ce jour là, c’est la première fois que j’ai fait éjaculer une femme, et depuis, ça m’arrive régulièrement… » Je lui dit : « -Moi, ça ne m’est pas encore arrivé… » Il sourit: « Tu viens de le faire 2 fois! » Je suis bouche bée. Il ajoute: « Regarde, les draps sont trempés, et ce n’est pas moi! »…
C’est alors que je réalise qu’à 2 reprises par le passé, dans des circonstances similaires, il m’était arrivé de mouiller abondamment les draps. J’ignorai juste que ce n’était pas de la cyprine…
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Corps et âme
« Bonjour jeune femme,
Une chambre à l’hôtel est désormais réservée pour la nuit de jeudi à vendredi. Votre heure d’arrivée en gare devra nous être communiquée, un chauffeur personnel vous y attendra. La température de la chambre sera d’une vingtaine de degrés mais elle devrait rapidement monter. Quelques bulles et douceurs sucrées sur fond de musique dans une ambiance tamisée vous aideront à profiter pleinement du lieu. De douces caresses et baisers gourmands vous permettront également de vous détendre. En espérant que votre soirée soit des plus jouissives….
J’ai très envie de toi. Vivement jeudi. Bisous doux, gourmands et curieux sur ton corps »Comme annoncé dans son mail d’invitation, il avait pris soin de chaque détail, et il est fort excitant de rejoindre une ville où j’avais si souvent été en correspondance pendant mes études pour m’abandonner au plaisir de ses caresses sensuelles. Comme je le présentais, il s’est révélé homme délicat et attentionné. Qu’il est bon d’être dans ses bras, de l’embrasser, le regarder intensément, le sentir frémir, mais aussi l’écouter. Échanger entre deux corps à corps nos expériences libertines, nos envies, nos fantasmes. Raconter nos histoires sa tête lovée contre moi, évoquer nos amours officiels et officieux. Une nuit de plaisir et volupté.
Au petit matin, contraint de me quitter de bonne heure en raison de ses obligations il m’enlace une dernière fois. En parfait gentlemen il a gentiment prévu le petit déjeuner pour moi. Désormais,en allant voir ma maman le week-end, quand je passe devant ce petit hôtel à côté de la station service où si souvent je me suis arrêtée prendre de l’essence, je repense à cette nuit où en plus de son corps, il m’a livré son âme.
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En voiture
C’est une chaude soirée de la fin de l’été. Nous avons très envie de nous voir, mais mon amant héberge sa sœur pour quelques jours, il nous faut donc innover. En arrivant en bas de chez lui, au lieu de me garer comme j’en ai l’habitude, je l’accueille comme passager de la voiture de mon chéri. « Où allons-nous? » Il me répond: « Il parait qu’il y a un parking tranquille près de chez toi? » Il a apprécié la série de photo que j’ai réalisé quelques semaines plus tôt en ces lieux. Je reprends donc la direction de la maison. Quinze minutes plus tard, nous voilà garés dans le petit parking souterrain juste à côté du supermarché où j’ai l’habitude de faire mes courses, il est 21h30, il n’y a personne. Nous commençons alors à nous embrasser, et à avoir les mains baladeuses, ça fait plusieurs mois que nous ne nous sommes pas vus, nos retrouvailles sont très excitantes. J’aime sentir sa main dans ma culotte, alors que je prends l’initiative de le sucer. Je veux en profiter longuement. J’aime le sentir vibrer sous les assauts de ma langue. Il m’interrompt parfois, parce qu’il ne veut pas jouir tout de suite. Nous sommes tous deux désireux de faire durer le plaisir, malgré le risque d’être surpris à tout instant dans ce lieu insolite. Je le savoure encore en bouche tandis qu’il me fait vibrer de ses doigts. Mais bientôt l’envie de me prendre se fait trop forte, il me propose de sortir de la voiture pour être plus à l’aise. On regarde quelques secondes autour de nous, ça fait plus d’un quart d’heure que nous sommes là et rien n’a bougé dans ce parking, la prise de risque nous semble donc acceptable. Le désir nous mène plus facilement à oser faire des folies. Il sort de la voiture, vient près de moi côté conducteur. Je le rejoins à l’extérieur du véhicule. Il baisse son jean, se pare d’un préservatif, je soulève ma jupe et me cambre sur le capot pour enfin l’accueillir en moi. Notre excitation est décuplée. J’aime ses coups de reins, je fais attention à rester silencieuse. Cette levrette spontanée est des plus savoureuse, nous en profitons quelques courtes minutes. Mon amant a même l’audace de goûter à mon petit trou avant de jouir. Jamais je n’avais connu de situation aussi excitante et vu le capot de la voiture de mon chéri de si près!
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Protégé : Plaisir langoureux
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De la chambre 200 à la chambre 44
6h10, chambre 200, petit hôtel de banlieue, le réveil va bientôt sonner et mettre un terme à notre délicieux rendez-vous. Je me blottis contre lui. Je suis heureuse de cette très belle rencontre, de sa douceur, de ses mots, de nos moments de plaisirs partagés. Nous nous sommes livrés l’un à l’autre corps et âme. Ses bras sont si agréables, si accueillants, qu’il est difficile de les quitter au petit matin. Il doit partir, m’enlace délicatement une dernière fois, dans moins d’une heure il sera au travail. Il m’a réservé le petit déjeuner que je vais prendre à la réception de l’hôtel.
7h23, je n’ai pas encore quitté l’hôtel que je reçois un petit message de mon bel amant préféré, s’assurant que ma nuit fut des plus agréable. Il me demande si je suis libre en fin de journée. Il semble d’humeur coquine. Nous convenons de nous voir et d’improviser.
16H30, « Alors où nous retrouvons-nous? » J’expose par sms à mon tendre complice les différentes possibilités. Ce petit hôtel parisien où nous nous étions déjà retrouvé un soir, a une chambre disponible. Nous n’avons qu’une petite heure devant nous, mais ce serait parfait.
16h57, je valide depuis le bureau la réservation, éteint l’ordinateur, et souhaite un bon week-end à mes collègues.
17h40, je le retrouve à la sortie de son travail, nous sommes à quelques stations de métro de l’hôtel.
18h00, après avoir précisé à la réception que nous ne prendrons pas de petit-déjeuner, nous nous retrouvons dans la chambre 44 et pouvons enfin nous jeter l’un sur l’autre. Il avait à cœur de me faire jouir. Il a été contraint de mettre sa main sur ma bouche pour que je fasse moins de bruit. Enfin, nous pouvons laisser nos corps s’exprimer comme nous le souhaitons. Il m’offre probablement le moment le plus intense et jouissif de ma vie libertine.
19h27, je quitte mon bel amant, le RER est à l’approche, je n’ai plus qu’à prévenir mon homme de l’heure approximative de mon arrivée. Ce soir, je n’aurai pas un, mais deux rendez-vous coquins à lui raconter!
Jamais hiver n’aura été aussi coquin, mais que ce soit programmé ou improvisé qu’il est agréable de jouir ainsi de la vie!