Art

  • Art,  Féminité

    A l’origine du monde

    Vénus de Lespugue

    Vénus de Willendorf

    Ces deux statuettes représentent les premières manifestations de l’art de l’Humanité. Elles furent surnommées « Vénus » par analogie avec la déesse de la beauté de la mythologie romaine et parce que les préhistoriens du début du 20ème siècle estimaient qu’elles correspondaient à un idéal de beauté préhistorique.

    La plupart de ces Vénus paléolithiques semblent être des représentations féminines conformes à un certain nombre de conventions figuratives. En effet elles s’inscrivent dans un losange, avec deux extrémités effilées symétriques autour d’un élargissement correspondant au ventre.

  • Art,  Fantasmes,  Plaisirs,  Point de vue

    La boite de Pandore

    Dans la mythologie grecque, Prométhée vola le feu aux Dieux pour le donner aux hommes. Pour se venger, Zeus ordonna à Vulcain de créer une femme faite de terre et d’eau. Elle reçut des Dieux de nombreux dons : beauté, flatterie, amabilité, adresse, grâce, intelligence, mais aussi l’art de la tromperie et de la séduction.

  • Art,  Lecture

    Danaé et la pluie d’or

    Acrisios, Roi d’Argos, n’avait qu’une fille, Danaé. Elle était la plus belle des femmes de ce pays mais ceci ne suffisait pas à consoler le Roi de n’avoir pas de fils. Il se rendit à Delphes pour demander au dieu s’il lui restait quelque espoir d’être un jour père d’un enfant mâle. La prêtresse répondit par la négative et pis encore, ajouta que Danaé, sa fille mettrait au monde un fils qui plus tard le tuerait.

  • Art,  Féminité,  Insolite

    La grande Odalisque

    J’aime beaucoup cette oeuvre d’Ingres, car de premier abord, tout semble normal et pourtant lorsque l’on regarde de plus près, c’est beaucoup plus subtil qu’il n’y parait!

    Ingres transpose ici le thème antique du nu féminin dans un Orient vers lequel il n’a voyagé qu’en rêve et qui est prétexte à l’image sensuelle d’une femme de harem – une odalisque – nue et offerte dans un décor exotique. Il ne cherche pas à rendre compte de la réalité ou des couleurs vivantes de l’orient, mais plutôt à coucher sur tableau la conception européenne de l’orient fantasmé.