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Licorne
On me parle d’un site de dialogue en direct sans connexion, « ça m’apporte du trafic sur mon compte Insta ». Je suis curieuse, je vais voir et aussitôt me voilà assaillie de messages d’hommes. J’essaie de promouvoir mon Insta ou de proposer quelques nudes très hot à prix doux mais la seule chose qui intéresse ces messieurs c’est du réel. « Non, c’est compliqué » est ma première réponse. Mais le nombre de rendez-vous étant faible en ce moment, je me dis pourquoi pas tenter cette approche.
Je transmet mon numéro, quelques photos, mes conditions. L’homme souhaite venir, il peut être là dans 15 mn. Je ne suis pas disponible, je ne m’attendais pas à cette immédiateté.
« Je vais garder tes coordonnées, tu serais partante pour un trio avec un couple hétéro, tarifs en conséquence ? »
Voilà comment je me suis retrouvée trois jours plus tard à monter dans sa voiture noire, il a tenue à être mon chauffeur pour cette première rencontre. « Cela permettra de faire connaissance sur le trajet. »
Ses questions, et les messages envoyés pour me confirmer à chaque étape la suite des évènements m’ont rassurée, nous fonctionnons de la même façon.
Dans la voiture, il me parle de sa femme, elle a vu des photos de moi, elle a tout validé, j’ai vu sur la photo que j’ai reçu qu’elle était fine, l’opposée de moi. J’ai plus l’habitude de femmes pulpeuses comme moi, mais je sais m’adapter.
Elle appelle, j’entends sa voix grave, il me dit qu’ils ont toujours eu du mal à trouver un autre couple ou une autre femme, que cette voix, pas très féminine, y est peut être pour quelque chose. Elle sait ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas, elle a du caractère et dit ce qu’elle pense. « Mais je ne me fais pas de soucis, je pense qu’avec toi ça devrait bien se passer ».
Il me remet l’enveloppe dans l’ascenseur, même si elle sait que je suis payée, je souhaite faire en sorte que ce soit une soirée qui ressemble le plus possible à une soirée normale. Une fois la porte franchie, je me glisse dans la peau de l’initiatrice de plaisirs saphiques. Je sais qu’elle sera passive, j’aime de toute façon donner du plaisir. Elle est timide, mais je la mets en confiance en lui proposant un petit massage détente. Celui-ci dérape vite, nous nous embrassons et je m’occupe d’elle, parcours ses formes, la caresse, elle est mouillée. Je la lèche.
Son homme est ravi, d’abord spectateur, il s’approche, découvre mon corps du bout de ses mains. J’ose quelques caresses, d’abord sur son torse, puis en descendant un peu plus sur son intimité. Je m’assure que sa femme est à l’aise. Je peux continuer, je les embrasse tour à tour, bientôt nous jouons tous les trois dans ces préliminaires où chacun notre tour alternons caresses et baiser.
Vient le moment où il a le plaisir d’avoir nos deux bouches sur son sexe, une première pour lui, et l’extase. « On devrait tous vivre ça, je vais avoir envie d’encore » J’ai ensuite lécher sa femme pendant qu’il me prenait en levrette avant de me glisser sous elle et de glisser ma langue entre sa chatte et sa queue ou ses couilles, pendant qu’il la baisait en levrette. J’adore être ainsi le piment d’un couple, décupler par ma simple présence et avec ma langue leurs moments de plaisir.
Nous avons beaucoup discuté aussi, je suis rentrée tard et un peu fatiguée, mais c’était agréable, de sentir leur plaisir d’avoir réalisé un de leur fantasme.
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Un tableau Excel de plus
Devoir emmener ma maman chez le médecin parce qu’elle oublie et qu’elle ne peut plus gérer les papiers, y voir l’opportunité de lui confier mes enfants et s’offrir une soirée de liberté. Et si au lieu de chercher à être invités à une soirée multi, nous l’organisions nous même.
Nous savons qu’une maison pas loin de chez nous est louée par des organisateurs de soirée libertine, nous l’avons repérée sur les sites de réservation, elle est justement disponible ce jour là. Quelques clics et c’est réservé.
Faire la liste des couples que nous connaissons. Noter les pseudos, ajouter une colonne pour les prénoms, une autre pour la réponse et une dernière pour un éventuel commentaire. Lancer les invitations au fur et à mesure et faire les mises à jour, lister les profils que l’on pourrait inviter s’il y a des désistements.
Ajouter sur la droite la check liste de tout ce que nous devons apporter : bouteilles d’eau, sopalins, préservatifs, sacs poubelles, enceinte bluetooth…
Se réjouir des confirmations, les personnes que nous réunissons sont dans le bon état d’esprit, nous en connaissons la moitié, les autres nous les decouvriront mais nous savons qu’elles ont des affinités avec d’autres personnes ou qu’elles sont habituées aux multi ou club, tout devrait bien se passer.
Nous arrivons juste une heure avant pour tout mettre en place. C’est une belle demeure avec parquet et moulures au plafond. Les convives arrivent petit à petit, c’est mon homme qui les accueille pour m’éviter de monter et descendre les escaliers avec les talons aiguilles et puis je préfère ne pas apparaître avec ma petite robe transparente sur les caméras de surveillance.
Le salon se remplit vite, tout le monde a le sourire, il fait chaud. Le champagne et le buffet accompagnent les discussions. Et naturellement un homme prend une femme par la main et l’emmène dans une chambre. Ils ne se connaissaient pas il y a une heure mais le courant est tout de suite bien passé.
Le salon se vide doucement, il ne reste plus qu’un couple et un homme qui propose à la femme du couple d’aller dans une chambre. La femme temporise, elle est flattée mais n’est pas encore dans l’ambiance. Les deux semblent fatigués, éteins et ça tombe bien, je les connais et je sais comment les allumer. Elle est hypersensible et je lui propose mes carresses qui ne manquent pas de la faire frémir. Nous mettons une couette sur le canapé pour protéger celui-ci, toutes les chambres sont occupées. Je la déshabille avant d’être rejointe par la première femme partie s’amuser il y a un petit moment, elle est complètement nue et se joint à moi pour s’occuper de la femme hyper sensible. Nous jouons un peu à trois avant que je ne les laisse toutes les deux pour m’occuper de son homme resté en retrait.
C’est un « bon coup » et c’est la troisième fois qu’on a l’occasion de se voir je l’emmène dans une des chambres où il reste une petite place sur le lit où mon mari est en train de se faire chevaucher par une femme qu’on avait rencontré il y a un mois. Après quelques préliminaires il me baise avec intensité, à en faire bouger le lit. Il est endurant et aime profiter de moi. Il semble bestial au moment de jouir, j’aime le voir ainsi lâcher prise.
Je reste sur le lit un moment pour souffler et j’observe l’autre « couple » venu s’ébattre. Je connais déjà la femme, mais pas l’homme. Mon mari coquine avec sa femme au pieds du lit. L’homme me regarde et me doigte en même temps qu’il baise la jolie blonde que j’embrasse et caresse. Puis il me demande s’il peut me prendre. Il change de préservatif et s’exécute. J’aime cette fluidité. Nos ébats finis je regagne le salon je remets juste mes sous vêtements.
Tout le monde est partiellement ou totalement nu. C’est agréable de constater les sourires sur les visages. L’alchimie est là. Une femme toute décoiffée me dit : « Merci pour l’invitation, c’est ma première multi, et c’est super, tout le monde est beau ! »
« Oui, c’est un beau casting, bravo ! » ajoute le mari de la belle blonde avec qui j’ai eu plaisir de bien baiser lors de notre dernière multi il y a deux semaines. C’est un casting multi affinités et tout le monde joue naturellement.
Seul un couple mixte ne connaissait personne en arrivant, mais ils ont bien joué déjà lorsqu’ils m’embarquent dans la plus grande chambre pour un « encore ». Nous voilà à nous amuser à deux puis trois femmes sous le regard des hommes qui se font également sucés ou qui nous caressent. Nous nous mélangeons, nous imbriquons tous naturellement. Nous sommes 7, 8 ou plus encore, hommes et femmes, regards complices et sourires aux lèvres à partager du plaisir, de belles images.
J’ai plaisir à retrouver le mari de la femme que baisai mon mari tout à l’heure. Ses cunnis sont toujours aussi agréables et je sais qu’il aime bien me baiser comme une belle salope.
Les jambes en l’air ou en levrette, je n’ai pas beaucoup passé de temps autour du buffet, je ne pourrais pas baiser avec tout le monde et ce n’est pas le but mais c’est très agréable de voir que tout le monde passe une bonne soirée et profite de plaisirs partagés.
J’ai encore des ressources pour accepter une invitation. De toute façon ce sont surtout ces messieurs qui s’épuisent physiquement à bien nous prendre. Je dis au revoir à certains d’un signe de la main en levrette, disant en riant que je donne de ma personne.
Nous voilà proches de la fin de soirée, certains sont partis, d’autres sur le départ. Mais le mari de la jolie blonde que j’avais eu plaisir à découvrir il y a 2 semaines, n’a pas envie de partir sans un moment avec moi. Je me disais que ce serait pour une prochaine fois, mais s’il a encore l’énergie, pour lui, je suis preneuse de rab ! Je l’apprécie et notre baise est intense et très hot, il sera le seul à profiter et jouir dans mon cul, avec lui, il y a ce bon feeling qui permet tout !
En nous rhabillant il m’apprend que sa jolie blonde a perdu il y a quelques années un enfant, et que le libertinage c’est le meilleur moyen de profiter de la vie et de se sentir vivant ! Je ne peux que partager sa vision, je me sens tellement vivante et tellement moi dans ces instants ! Baisons encore et encore ! Vivons intensément et profitons de la vie ! CarpeDiem !
Une fois tout le monde partis et le gros de la maison rangée, nous nous sommes retrouvés dans le grand lit mon homme et moi. Il aime me baiser ainsi, après, en nous racontons notre soirée, clôturant les festivités par une intense jouissance.
Ps: Le lendemain matin je me suis rendue compte que je n’avais même pas pris une petite photo souvenir d’ambiance de la soirée… Les téléphones sont toujours loin, c’est la déconnexion totale et ça fait du bien. L’illustration de l’article est donc une photo du lendemain matin.
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Celle que je ne suis pas
Depuis quelques années, on voit des filles gagner des fortunes avec les plateformes à contenu payant. En 2021, je suis officiellement devenue travailleuse du sexe en proposant mes services en tant que Cam Girl, en parallèle j’ai ouvert un compte Onlyfans que j’alimente, je l’avoue au gré des images que je capture, sans forcément une grande régularité. En toute transparence cela m’a généré entre 50 et 200€ par mois selon les mois, ce qui me permet de déjà contribuer modestement au financement de ma garçonnière.
Cela fait quelques temps, que je me dis que je ne consacre pas assez de temps à mon compte Onlyfans, que mes abonnés méritent probablement plus de contenu de ma part et que cela pourrait être du gagnant / gagnant si j’y donne un peu plus d’énergie et que je m’implique à fournir davantage de contenu.
Chemin faisant, lorsque l’on veut donner un peu de visibilité à son contenu payant, il y a un passage obligé: les réseaux sociaux. C’est là où tout se joue ! Et il n’y a pas de miracle, pour être vue, il faut se montrer ! Instagram est un incontournable, Tiktok et les sites de rencontres générant du trafic vers le site de Meta.
Seulement aujourd’hui lorsque l’on fait la promotion d’un site Onlyfans sur Instagram, on tombe davantage sur des tentatives d’arnaques à la promotion payante que de potentiels abonnés, ou on se fait facilement bannir.
La nouvelle mode ce sont les OFM, des agences marketing qui gèrent toute votre communication à votre place afin que l’on se concentre seulement sur la création de contenu. En contrepartie, elles se rémunèrent avec un pourcentage sur les gains allant de 30 à 60% de commission. À les écouter le potentiel est énorme ! Les gains peuvent atteindre des milliers, voir des dizaines de milliers d’euros par mois. C’est tentant d’essayer, de voir ce que cela pourrait donner.
Je n’ai pas grand chose à perdre à tenter, en ce moment je n’ai plus beaucoup d’abonnés. Je tente donc l’aventure.
L’agence me dit que mon contenu est trop hard, que je dois retirer tous les clichés où je suis nue, que l’idée c’est que les gens doivent payer pour me voir à poil! Le hic c’est que sur 95% des clichés je suis à moitié nue donc hors de question de retirer tout mon contenu ! Ensuite elle me demande de faire du contenu Tiktok, des petites vidéos de 15 secondes, entre 3 et 6 par jour, « Comme le contenu y est soft, est ce qu’on pourrait envisager montrer ton visage ? Peut être avec un masque de lingerie ? »
J’y réfléchis, je fais quelques tests, les filtres Tiktok me donnent l’impression d’être une IA, pourquoi pas tenter, même si j’ai du mal avec l’idée, et que oui ceux qui me connaissent peuvent me reconnaître.
L’idée c’est de prendre un virage, de mettre de côté Lilou, de ne plus m’adresser à mes fans, mais que Léa aille conquérir un nouveau public avec du contenu plus soft, uniquement dans le but de vendre du contenu dénudé ou plus hard à prix d’or, parce qu’ils faut rémunérer l’agence et qu’elle a l’ambition de travailler avec des modèles qui atteignent les 10 000€ par mois minimum.
Alors je me dis pourquoi pas, et plutôt que me faire une queue de cheval ou des couettes pour me métamorphoser, je vais créer une nouvelle Léa en commandant une perruque et un peu de maquillage. Je me mets devant l’objectif et je tente mes premières photos. Plus de longueur et quelques boucles, ça me change, c’est amusant et en même temps déconcertant. Je regarde le résultat avec ou sans filtre Tiktok, avec ou sans masque de lingerie. J’apprivoise cette nouvelle Léa, je me dis que c’est un sacré challenge, c’est comme partir d’une feuille blanche, devoir tout refaire avec une perruque alors que j’ai déjà tellement de contenu. Je joue le jeu, je me dis que je ne suis pas sûre de kiffer sur le long terme.
J’envoie des photos softs à l’agence en suggestion de nouvelle photo de profil, une avec le bas du visage, l’autre avec mon visage masqué. L’agent me dit qu’il préfère celle avec le visage coupé, finalement il n’est pas très fan du loup de lingerie qu’il avait lui même suggéré. Si c’est pour rester sur du contenu coupé, où est la valeur ajoutée de la perruque ? Pour le contenu soft de Tiktok, je le sens pas vraiment…
Mais je n’aurai pas à me torturer très longtemps :
« Bonjour Léa,
malheureusement après discussion avec mes collègues de l’agence, nous avons décidé de ne pas retenir ta candidature. Je suis vraiment désolé pour ça, je vais te dire quelles sont les raisons :
- le fait que tu ne veuilles faire que du contenu demi visage sur OF
- le fait de ne pas afficher ton visage en plus de cela sur les réseaux sociaux
Si jamais tu changes d’avis entre temps pour le contenu OF à visage entier, je pourrais revenir vers toi. »
Me voilà finalement soulagée et libre d’être et de rester moi. Non je ne changerai pas, c’est plus important pour moi de me protéger, de préserver mon anonymat de rester celle que je suis, celle que j’ai toujours été.
Je me suis permise de lui répondre que je n’avais pas candidaté mais qu’ils m’avait démarchée et de leur conseiller de ne pas prospecter des personnes qui ne montrent pas leur visage si c’est problématique pour eux.
Donc tant pis, je ne gagnerai pas 10 000€ par mois avec Onlyfans, mais je reste fidèle à moi même et plus authentique.
Il en reste quelques jolies photos, dont certaines plus osées qui seront sur mes plateformes évidemment. Et pour célébrer ma liberté d’expression et les 16 ans de ce blog demain, le Black Friday etc… je vous propose des remises exceptionnelles !
-60% sur mon compte Onlyfans
-50% sur mon compte MYM avec le code LILOU50
Profitez-en si vous avez envie d’être curieux ! 😁😘
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Jacuzzi
Depuis que j’ai ma garçonnière, je suis un peu plus casanière, ça faisait longtemps que je n’étais pas allée au sauna, ce fut un plaisir de prendre mon après midi et de retrouver Rico avec qui j’avais déjà passé de très bons moments.
Il n’a pas perdu de son doigté qui me donne des sensations si fortes, et c’est un plaisir de profiter de ses envies et de son endurance. Jacuzzi, hammam, sauna, nous prenons le temps de nous poser et de profiter à plusieurs reprises des installations. Nous nous enfermons à deux dans l’un des coins câlins histoire de vivre de jolies retrouvailles, avant de partager l’intimité d’un autre couple.
J’avoue être restée longtemps dans le jacuzzi pour une raison particulière : en me positionnant à un endroit stratégique, avec les bulles juste venant caresser mon clito, j’ai apprécié longuement l’excitation apportée par les bulles et l’eau. Un doux préliminaire.
Plus tard, lorsque Rico est rentré chez lui, j’ai décidé de rester un peu toute seule pour apprécier de nouveau les sensations découvertes. Ce stimulant m’a donné une envie : me faire lécher jusqu’à jouir. N’ayant plus de partenaire et doutant que laisser le premier venu m’approcher comblerait mon envie précisément, j’ai décidé de rentrer à la maison et de solliciter mon homme pour m’offrir la délivrance et l’orgasme intense et puissant qu’il sait si bien me donner. Il a adoré ensuite me baiser pendant que je lui racontait mon escapade. Il trouve les sensations différentes lorsque ma chatte a été très sollicitée, ça l’excite particulièrement et le fait jouir intensément également.
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Gourmandises
Une invitation, une fois encore dans une belle maison de banlieue parisienne. Cette fois nous avons pris un hôtel pour simplifier la logistique et éviter trop de kilomètres en pleine nuit. Officiellement, c’est une soirée en amoureux. L’officieux est bien plus savoureux.
Indéniablement, ces soirées pimentent et renforcent notre couple. J’aime le regard de mon homme sur moi lorsqu’il remet en place mes cheveux ébouriffés alors que je suis en train de me faire prendre en levrette. J’adore qu’il sorte de sa réserve et m’offre sa queue également. Il le faisait si peu avant. Quel délice de pouvoir ainsi avoir deux hommes pour moi, sucer et me faire prendre en même temps et partager cela avec l’homme de ma vie.
Nous sommes les plus jeunes certes, mais le casting est de qualité. Des personnes charmantes et notamment une femme pétillante qui raconte à l’assemblée comment elle a rencontré son homme au bar d’un club libertin, c’était le barman et surtout un « bon coup ».
Après le buffet salé, notre hôte nous propose une visite guidée à l’étage qui nous amène vers trois grands matelas disposés sur le sol. Il commence les festivités avec la femme pétillante, tandis que moi j’embrasse l’homme avec qui je venais de parler de garçonnière et de Cap d’Agde, alors que sa femme est avec le « bon coup », mon homme agrémentera leur duo, avant de venir me rejoindre. Les autres préfèrent patienter pour jouer. Les uns descendent faire une pause, les autres montent. Moi, je suis restée longtemps profiter de mon amant et de son endurance.
Nous nous retrouvons tous ensuite sur le canapé autour des savoureux desserts préparés par notre hôtesse de maison. La tarte tatin est un régal, le flan vanille aussi, j’assume ma gourmandise, de toute façon ils l’ont remarqué.
Nous avons plaisir à partager nos expériences et nos visions du libertinage. Le sentiment de pouvoir être davantage nous même et authentique avec des inconnus par rapport à notre entourage avec qui nous ne pouvons pas partager ce jardin secret. Je suis entre mon amant et le « bon coup » qui en profite pour me tenir par la taille, avant de me glisser à l’oreille : « ça te dit d’aller revoir un film à l’étage avec moi ? ». Je suis flattée par son élégance et l’invitation, nous nous levons donc pour relancer le jeu.
En me déshabillant il m’avoue avoir été excité de me voir avec deux hommes un peu plus tôt. Sa femme viendra près de nous, rejointe par mon homme. Ces messieurs utilisant d’abord leurs langues pour nous faire vibrer. L’amant d’avant n’est pas loin, observateur. Je lui fait signe de nous rejoindre, m’offrant ainsi un deuxième trio. C’est buffet à volonté ce soir pour moi. Les hommes se relaient dans ma chatte et ma bouche pour mon plus grand plaisir ! Cette fois je suis gâtée et je ne resterai pas sur ma faim comme certaines soirées.
Ces hommes ont comblé mon appétit mais rien de tel pour finir la soirée qu’une femme ! Tandis que ces messieurs ont regagné le salon, je propose à la femme pétillante du bon coup un moment de douceur et volupté. Je la fais frémir et même hurler de plaisir autant que ces messieurs, mais juste avec mes mains, je frôle tout son corps, je l’enveloppe de mes caresses, c’est très agréable de la voir si sensible ! « Tu me rappelle moi en plus jeune, merci beaucoup ! »
Je repars avec plein de belles images en tête et quelques numéros de téléphone, c’est impressionnant comment en quelques heures à peine, on passe d’inconnus à complices. Une belle soirée étoilée…
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Passage à vide ?
Je n’ai eu que deux rendez-vous en un mois. Ça fait longtemps que cela n’était pas arrivé. Après l’abondance de ces derniers mois, il y a eu les vacances puis un décès dans ma famille. Le besoin de repos, le manque d’envie. Je ne peux pas dire que je suis déprimée ou en burn(e) out, juste que cette période de moins me fait du bien, ne pas me sentir obligée d’accepter un rendez vous. L’argent ne fait pas tout. C’est rassurant aussi quelque part de me rendre compte que je m’écoute, que l’envie reste essentielle, que le « Fuck Yes » est une règle fondamentale. J’ai eu beaucoup d’interactions sociales et de relations tarifées ou non ces derniers temps et elles n’ont pas toutes la même saveur, le même intérêt. Je suis dans une phase où j’ai envie et besoin de positif et c’est peut être ce qui me mène ces derniers temps à oser dire non, même aux personnes à qui je n’ai rien à reprocher, mais je n’y peux rien, c’est comme ça, l’envie doit être là, elle doit me donner le sourire sur le visage, l’envie doit être une évidence et pas mitigée. Je me suis peut être aussi un peu trop installée dans une routine avec mes réguliers. C’est bien aussi d’en sortir quelques temps… de peut être se dire qu’il me faut du renouveau, et je n’ai aucun doute sur le fait que cette phase est un nuage, elle ne fait que passer. Mon naturel ne change pas et mon mari est toujours là. Il ne se passe pas rien non plus. C’est juste que parfois moins c’est mieux. Et ça fait du bien.
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Il y a 23 ans, j’ai perdu ma virginité !
1er août 2000, mes parents sont en vacances en Normandie, moi j’ai un job d’été dans la boîte de ma tante, tout comme mon cousin de Bordeaux qui vient chez moi pour l’occasion ! Je lui laisse ma chambre…
et je m’installe dans la chambre de mes parents ! Avec mon cousin on découvre la vie d’adulte, on a 18 ans, je viens d’avoir le bac et dans 18 jours je m’apprête à prendre l’avion pour vivre une grande aventure d’un an en Californie ! Quelle adrénaline !
J’ai vécu mon premier baiser il y a seulement 2 mois, le 1er juin avec un asiatique, mon fantasme depuis mon voyage au Vietnam en 1998.
Ce premier baiser je l’avais longtemps attendu et je me suis libérée d’un poids le jour où enfin un garçon a bien voulu m’embrasser !Mes camarades se moquaient de moi parce que ça se voyait sur mon front que je n’étais jamais sortie avec un garçon! Je passais pour la fille coincée du lycée et manquais de confiance en moi ! J’ai eu plusieurs fois l’occasion pourtant, mais je n’ai jamais osé suivre mes envies!
C’est sur Caramail (dans le salon asiatique 😏) que je flirtais avec les garçons en quête de celui qui serait le bon pour me sentir bien pour enfin franchir le pas ! Bruno a joué le rôle à la perfection, petite balade à Chatelet, discussion, sourires, il m’a prise par la main…
Il m’a volé un smack pour me remercier d’un cadeau que je lui avais fait, plus tard devant Beaubourg il m’a plaqué contre lui alors qu’on regardait un spectacle de rue. Ce premier baiser fut naturel spontané, doux, parfait ! On s’est revus le lendemain, il m’a offert des fleurs..
Bruno aurait pu être le bon pour ma première fois, il lui aurait juste fallu un peu de patience pour l’étape suivante, mais il en a décidé autrement et du jour au lendemain silence radio… Zéro explication, on se remet rapidement d’une déception lorsqu’on est face à un lâche !
Je me fais une raison, je m’envolerai en Californie vierge, et il n’y a rien de mal à cela ! Jusqu’à ce 1er août 2000, où d’un seul coup, alors que mon cousin regarde la télé et que je suis sur l’ordinateur, une fenêtre noire apparaît en plein milieu de l’écran ! Étrange ! 🤔
Un petit « coucou » apparaît en blanc. Je prends une grande inspiration et je réponds ! Je comprends vite que mon pirate informatique ne veut pas nuire à mon ordinateur, non, il veut me draguer !!! C’est un truc un peu fou mais ça fonctionne ! Il finira la soirée avec mon numéro !
En même temps en ayant accès à mon ordinateur il pouvait avoir beaucoup d’informations consulter mes photos et avoir mon téléphone fixe parce qu’à l’époque je n’avais pas de téléphone portable ! Lui, il avait un forfait Millénium de SFR, vous vous souvenez ?
Pour les plus jeunes, c’était un forfait illimité de 20h à 8h du matin vers les fixes ! Parce qu’à l’époque le téléphone portable ça coûtait une blinde ! Alors le lendemain à 20h, le téléphone sonne, c’est son ami qui m’invente une histoire à dormir debout…
Il me dit que je suis l’élue, il me parle de matrice, ils ont des projets pour moi, qu’on se rencontrera dans 3 semaines… Matrix venait d’avoir un grand succès au cinéma, mais moi je ne l’avais pas vu, et surtout le 18 août j’avais mon billet pour la Californie !
Je chamboule donc leurs projets, et William m’appelle enfin, je suis littéralement pendue à sa voix ! Il me dit plein de jolies choses, me flatte, me charme… Mais je dois partir en week-end, nous convenons de nous rappeler le dimanche soir… Un truc de fou !
J’y pense tout le temps, je réalise que je suis peut être naïve de succomber à ses belles paroles, que je ne suis peut-être pas la première, mais peu importe, il me dit tout ce que l’on ne m’avait jamais dit et que je rêvais d’entendre ! Dimanche soir le téléphone sonne…
Les barrières tombent, petit à petit je succombe à sa voix… Je délaisse mon cousin et passe la soirée entière accrochée au téléphone dans la chambre de mes parents ! William lui, devine que je suis coquine même si je lui avoue être vierge… Il a un peu du mal à y croire car…
Cette nuit là dans l’obscurité, je m’abandonne à cette voix qui me subjugue et je glisse doucement ma main dans ma culotte. Je me caresse portée par les mots de cet inconnu. Je glisse l’écouteur près de mon intimité pour qu’il puisse entendre comme je mouille…
Je ne sais pas grand chose de lui, je sais qu’il est asiatique, qu’il m’a contacté par Caramail et était passé par icq pour m’envoyer une photo de lui, qui était un cheval de Troie. Il m’imprime un poème sur mon imprimante, il m’appelle bébé ! On ne s’est même pas rencontré !
On se fixe un rendez vous le jeudi suivant, le 10 août, je suis impatiente de parcourir toute l’île de France pour le retrouver ! Après le boulot je vais à Noisy le grand Mont d’Est à l’opposé de chez moi. On doit se retrouver dans le centre commercial ! Je n’ai pas de portable
Juste son numéro de téléphone écrit sur un bout de papier pour pouvoir l’appeler depuis une cabine téléphonique si besoin. On doit se retrouver à 17h30. Il y a du monde dans le centre commercial. Je suis à l’endroit indiqué mais je ne le trouve pas.
Et d’un seul coup, un asiatique se dirige vers moi, me regarde et instantanément en se rapprochant l’un de l’autre, on s’embrasse direct ! Une folie !
Un baiser doux et délicat !
Et mes premiers mots sont: « J’espère que c’est bien toi ? »
😂C’était bien lui et aussitôt on reprend le RER direction Paris ! A peine sur le quai bondé il se colle à moi et mets ses mains sur mes fesses ! J’avais un jean beige moulant, il aurait certainement préféré une jupe !
Il m’emmène dans le jardin de l’atlantique au dessus de la gare Montparnasse où je dois reprendre mon train retour, on s’allonge dans l’herbe, et là, alors que des enfants jouent pas loin, il glisse subtilement sa main dans ma culotte. C’est la première fois qu’on me touche !
Je suis perturbée et trempée. Il prend une petite voix et me demande de lui dire d’arrêter, que c’est pas bien ce qu’il fait… Mais il sait, il sent que j’aime ça, et que je suis incapable de le lui dire.
Je monte dans mon train et nous convenons de nous revoir 2 jours plus tardSamedi 12 août 2000, je prends la direction de la banlieue nord est de Paris, nous nous retrouvons dans un macdo. Je sais ce qui m’attends, je sais ce que je veux, je suis venue vivre ma première fois, avec lui, parce que c’est une évidence, parce que c’est une folie !
Il s’assure que je vais bien, il est à l’écoute, il me dit que je ne suis pas obligée, que ce qui compte c’est ma volonté ! C’était exactement ce dont j’avais besoin pour me sentir en confiance. Je n’ai pas une seule hésitation ! J’ai trop attendu mon premier baiser…
Je ne raterai pas ma première fois !
Quelques minutes plus tard il toque à la porte d’un appartement où un pote à lui était en train de jouer à l’ordinateur, il est gentiment invité à nous laisser les lieux, c’est l’appartement d’un autre pote…Enfin plutôt de la famille de son pôte car c’est au moins un 3 ou 4 pièces avec plein de portaits d’une famille asiatique sur les murs. J’avais choisi des dessous blanc et la robe turquoise que je portais aux 50 ans de mon papa. Il m’invite à aller dans la salle de bain.
En sortant on se regarde, et on se déshabille assez vite ! Je vois son sexe dressé devant moi, et la première chose que j’ai envie de faire c’est d’en prendre possession. Je le regarde avec intensité et je le saisi de mes mains avant de le prendre en bouche…
Je crois qu’il ne s’attendait pas à une telle prise d’initiative ! Ses gémissements à ce moment précis en disent long sur son plaisir ! L’idée que c’est ma première fois le surexcite et le surprend en même temps… Il a le souffle coupé et des spasmes à chaque coup de langue
Étrangement à ce moment précis j’ai une pensée pour mon père, je me dis que c’est grâce à ses petites cassettes vidéos que je regardais en cachette le mercredi après-midi que j’ai découvert beaucoup de choses et je sais ce que je veux aujourd’hui !
Puis vient le moment fatidique de la première pénétration ! Il me regarde dans les yeux, va en douceur, tout se passe naturellement, je n’ai pas mal, je ne saigne pas… En même temps je crois que j’ai dû me depuceler toute seule depuis un moment avec mon gros stylo multicolor!
Je pourrais encore écrire beaucoup de choses sur ces instants avec lui tellement ce fut de beaux moments. Je crois que jamais personne ne m’a regardé ou parlé comme il l’a fait. L’impression d’être son centre du monde. Il m’a tout donné de lui, dont pas mal de foutre !
Et comme si cette journée n’avait pas été suffisamment exceptionnelle. Lorsqu’il me ramène dans le dernier train de Montparnasse pour rentrer chez moi, alors que la sonnerie retenti je fais la folie de lui proposer de monter dans le train et rentrer avec moi ! Il n’hésite pas !
On a baisé toute la nuit encore et encore dans le lit de mes parents ! Il voulait tout me donner, il voulait que je sois sa reine (c’était sa façon de me demander une gâterie)! Je crois que c’est la fois où j’ai le plus fait l’amour de ma vie ! Quel pied !
C’est pour cela que j’ai toujours aimé vibrer grâce à ma sexualité ! Je grave ces moments d’intimité dans ma memoire parce qu’ils me font me sentir terriblement vivante ! J’aime sentir un corps contre le mien, une queue en moi, j’aime cette magie ! Tant pis pour les courbatures!
Ceci a été posté sous forme de thread sur Twitter en août 2022.
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Mon père ce héros
« Et toi ? Tu es féministe ? Quel est ton point de vue par rapport aux travailleuses du sexe ? »
Je ne serai jamais militante. Je ne me permettrais jamais de chercher à convaincre que telle ou telle situation est la meilleure. Mon mode de vie, mon équilibre, mon ouverture d’esprit, c’est quelque chose qui s’est construit, c’est quelque chose d’exceptionnel qui me rend unique et ne me permet pas de juger ou de dire à qui que ce soit que mon mode de vie ou ma manière de penser est meilleur.
Moi, je suis aujourd’hui apolitique… Et pourtant petite j’étais dans l’estafette du syndicat, dans les couloirs de la mairie, dans les defilés, les vernissages, les inaugurations, les manifestations, les soirées electorales, à suivre mon père partout.
Syndicaliste, conseiller municipal puis maire adjoint, sans compter les associations de parents d’élèves ou d’enfants handicapés, il était de tous les combats. Il se levait à 6h du matin et se couchait rarement avant minuit. Je le revois encore à mettre son bleu de travail et mettre de l’encre dans la presse pour tracter. Je me souviens de cette odeur particulière, de ces heures passées à plier les papiers, parfois les agrapher, faire des tas sur la table à repasser de maman. Peu de personne à l’époque avait photocopieur ou machine à tracter dans sa cave ! Sans compter les plis que l’on a déposé dans les boîtes aux lettres…
Je ne savais jamais vraiment à quelle heure il allait rentrer ou combien de temps il allait rester, entre réunion syndicale, municipale, parentale ou associative. Il était partout. Parfois, je ne le voyais pas beaucoup, mais il répondait toujours présent lorsque j’avais besoin de lui.
Et puis un jour, mon bac en poche, j’ai décidé de traverser l’atlantique, de partir un an dans une famille d’accueil pour découvrir le monde et vivre une expérience extraordinaire. Il était fier. J’ai quitté tous ceux que j’aimais, je l’ai serré dans les bras et lui ai dit, peut être pour la première fois « Je t’aime » avec des mots.
Au printemps suivant, il a perdu les élections syndicales, son meilleur ami, puis les élections municipales… Alors qu’il devait remettre son mandat de Président de l’Institut Médico Educatif et qu’il venait de faire le bilan de tous les projets de développement et d’accompagnement des enfants handicapés qu’il avait réalisé pendant toutes ces années, un opposant politique qui attendait son heure depuis longtemps lui a dit: « Vous n’êtes plus rien Monsieur ! »
Ces mots ont littéralement tué mon père. Le malaise lui aura été fatal et m’obligea à être rapatriée d’urgence pour incinérer mon papa et faire un discours dans un cimetière plein à craquer. Tout le monde était choqué, touché par sa disparition en de telles circonstances. Ma mère ne s’en ai toujours pas remise, même après toutes ces années.
« Tu peux être fière du papa que tu as eu c’était un homme bien ! Un humaniste ! » m’a t-on dit. Oui je suis fière d’être sa fille et des valeurs qu’il m’a transmises, mais les circonstances de sa mort m’ont éloigné de tout combat et de la politique.
J’ai épousé un homme avec de belles valeurs également, un homme qu’il aurait probablement apprécié même s’il n’est pas du même bord politique. Le bien et le mal est de chaque côté.
J’ai couché avec des hommes de gauche ou de droite, de toute façon je ne parle pas politique quand je baise. Mon combat à moi, c’est avec mon corps ou mes mots de donner du plaisir aux gens, de contribuer à ma façon à une autre ouverture d’esprit, où chacun a le droit de composer et construire son bonheur avec les ingrédients qu’il souhaite et de jouir des plaisirs de la vie, car elle n’est pas éternelle et que tout peut basculer du jour au lendemain !
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Plaisirs multiples
J’aime le libertinage parce qu’il donne accès à des parenthèses enchantées, parfois dans des lieux d’exception. Depuis l’été dernier, nous avons découvert avec mon mari les joies des soirées multi-couples et il y a une chose que je constate, le luxe et la luxure se marient très bien. Ces soirées ont parfois lieux dans des appartements parisiens loués pour l’occasion ou de belles demeures avec piscine.
A chaque fois, c’est un plaisir d’être dans un endroit particulier où la discrétion est de rigueur…
Lors de notre première pool party l’année dernière nous avions coquiné avec 2 couples avant de nous baigner nus dans la piscine et d’observer les autres en pleine action. Mon homme a pu concrétiser un fantasme en passant un agréable moment avec une asiatique. Elle est venu ensuite sur mon visage, j’ai fait mon premier face sitting avec elle. Quel plaisir de déguster sa chatte en me faisant prendre en même temps. J’ai beaucoup aimer son franc parler assez direct avec son petit accent asiatique, ses « bon quand est-ce qu’on baise ? » ou encore « hummm t’as vu elle est bonne la grosse queue de mon mari » nous ont bien fait sourire.
Lors de cette pool party il y a eu un peu comme 2 groupes, l’impression d’être dans le groupe des personnes peut être moins attractives physiquement mais très sympa. De toute façon à ces soirées, tout le monde ne baise pas avec tout le monde. Parfois on a plaisir à discuter avec des personnes avec qui l’on ne baise pas et parfois on se retrouve à baiser avec des inconnus. Impossible de retenir les prénoms de tout le monde !
Hier encore une fois, l’endroit était sublime, une belle demeure avec piscine, à la campagne. Une dizaine de couples, certains qui se connaissent déjà. Un homme dit: « oui, à force, on connaît toujours un couple quand on vient en soirée ! » Je réponds : « Je crois que mon mari et moi n’avons pas encore fait assez de soirée… »
Quelques minutes plus tard, l’homme qui se présente et me fait la bise me dit: « On se connaît! » m’obligeant à retirer ce que je venais de dire ! Je ne l’avais pas reconnu, mais sa femme, oui ! Nous avons eu le plaisir de les rencontrer lors d’une petite multi de 3 couples l’année dernière.
Parmi les invités il y avait deux « célébrités », un journaliste que nous avons tout de suite clairement identifié et un comédien dont nous n’avons pas retrouvé le nom, mais quand je le verrai un jour à la télé, je pourrais me dire, « Ah oui, c’est lui que j’ai sucé vite fait en soirée… » il aurait probablement aimer davantage, mais même dans ces soirées, une libertine n’est pas un libre service. Le comédien a juste essayer de m’entraîner dans ses coquineries ou de se placer stratégiquement pour obtenir quelque chose. Rien qui ne me donne particulièrement envie.
Pire, alors qu’en fin de soirée j’étais en mode voyeuse, un autre homme avec qui j’avais discuté me dit » ça te dit de me sucer ? ». La demande n’est pas des plus élégantes mais je m’exécute, je viens de passer un bon moment avec sa femme et il était sympa. Seulement, sa queue n’est pas particulièrement à mon goût, je lui suggère donc de me baiser, il me dit « oui fais-moi bien durcir avant. » Je continue brièvement avec ma bouche avant de laisser mes mains le branler. Il me répond « Je préfère que tu me suces ». Puis, « non mais ça ne me fais pas grand chose ce que tu me fais, suce moi ». J’ai lâché sa queue et j’ai quitté la pièce. Une règle d’or, une femme a le choix, elle fait ce qu’ELLE veut.
À l’inverse plus tôt, je me suis retrouvée à prendre du plaisir avec un couple inconnu, qui a eu à cœur de bien me lécher, sans demander de contre partie. Un délice !
Mon mari et moi avons aussi interagi avec le couple qui nous a invité, des gens très agréables et chaleureux et qui savent recevoir et placer le plaisir au bon endroit.
Je retiens surtout un très bon moment à 3 femmes. Quel plaisir de se lécher mutuellement la chatte, d’embrasser, de caresser… Lors de ces soirées je suis très bi, j’adore m’amuser avec ces belles femmes et leurs maris n’ont pas l’air de s’en plaindre… J’aime aussi regarder les corps se mélanger, entendre les buits de frottement des corps ou les cris de plaisir. Il y a toujours un moment où je me fais prendre en levrette, ou avec les jambes en l’air…
On devrait d’ailleurs re revoir avec grand plaisir ce couple déjà rencontré l’an passé avec qui nous avons passé une bonne partie de la soirée, car elle est aussi gourmande que moi et son homme a semble-t-il à cœur qu’on se revoit pour qu’il puisse s’occuper davantage de mon plaisir !
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Libertine?
« Donc tu n’es pas libertine car une libertine n’a pas de clientèle ? »
Je suis moi, parfois libertine parfois escorte mais toujours libre de mes choix et de mes actes.
La différence entre les deux est très claire pour moi, cela fait 17 ans que je suis libertine, ça fait partie de mon ADN, c’est ce qui m’a permis d’acquérir de l’expérience, de savoir m’adapter aux situations. J’ai réalisé toutes mes envies que ce soit en terme de lieux insolites, de pratique, de configuration, de nombre et genre de partenaire, sans pour autant aller dans la surenchère. J’aime les choses simples, j’aime l’équilibre, j’aime construire des relations. J’aime ma zone de confort dans laquelle j’évolue, cela me permet d’être dans ma zone de génie, j’aime en sortir parfois aussi, pour l’adrénaline.
Je suis libertine quand j’écoute mes envies à moi, avec mes amants, mes partenaires de longue date, en sauna ou en club, ou encore en soirée multi avec mon mari. J’avoue qu’en tant que libertine, hormis les soirées, je ne fais plus beaucoup de nouvelles rencontres. J’ai déjà des partenaires de choix. J’ai besoin d’être séduite, d’avoir en face de moi une personne qui me plaît et qui saura me donner du plaisir ! J’ai éliminé tous les hommes qui ne pensaient qu’à leur plaisir sans se soucier du mien. Celui qui me contacte uniquement quand il a envie de jouir, mais qui veut juste se laisser faire et ne veut même plus me baiser. Et celui qui finalement me baisait si moyennement que je n’ai même pas écrit sur lui. En tant que libertine j’ai une exigence, MON plaisir et bien sûr je garde toute ma liberté.
Mes clients me paient pour que je me rende disponible sur un créneau horaire où nous pourrons nous voir. La contre partie financière leur permet de ne pas avoir à me séduire ou à me faire jouir. L’approche est plus directe. Mon but est de leur faire plaisir essentiellement. Si je n’ai pas de plaisir avec un client, il ne reviendra pas, je reste libre de choisir. Le feeling reste important car je reste moi, je dois être en confiance et respectée. Je ne pousse pas à la consommation, ce sont mes clients qui me contactent quand ils en ont envie. J’ai mes petits chouchous. Certains aiment me lécher ou me faire jouir, d’autres pas. Je connais les pêchers mignon de chacun. Ils m’aiment sensuelle et salope à la fois. J’adore être une bonne pute et bien les faire gicler. Je sais ceux qui vont aimer que je le dise et ceux qui n’aiment pas les mots crus. Je le sens, c’est ma zone de génie, être capable d’être celle qu’ils veulent avoir dans leur lit ou dans leur bras, un temps défini. Pour eux (sauf un) je ne suis pas Lilou, je suis Léa, l’escort occasionnelle au service de leurs désirs, une femme libre et épanouie qui assume et aime donner du plaisir aux autres…
Et mon mari dans tout ça, il adore tout ce que je lui raconte… Ça l’excite terriblement que j’assume complètement ce que je fais !
http://x.com/Lilou_libertine/status/1665764831318667264