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Une semaine en célibat
Trouver un emploi en ayant posé 3 semaines de vacances au mois d’août qu’on n’envisage pas d’annuler n’est pas une mince affaire. Début juillet, j’étais persuadée que je ne retravaillerais qu’après mes vacances en amoureux passés. Seulement, il y a eu cet entretien pour le poste qui me plaisait le plus, et lorsque j’ai soulevé la question de mes congés, il m’a été répondu, que dans un premier temps ma candidature a été mise de côté pour cette raison, mais que faute d’avoir trouvé la personne qui convenait, j’étais devant eux. J’avoue que cette réponse m’a mise en confiance, je savais que j’avais le profil, toutefois, il y avait d’autres candidats, et pour garder toutes mes chances et montrer ma motivation, j’ai décidé, en accord avec mon chéri, de ne pas l’accompagner lors de la première semaine que nous avions prévu de passer chez ses parents. Je ne me doutais pas alors, qu’en réduisant mes vacances, j’allais vivre une semaine en célibataire des plus libertines de ma vie! Là où, il y a quelques années, je restais plutôt raisonnable, j’avoue qu’aujourd’hui, je ne me pose plus trop de questions et je suis tout simplement mes envies, ainsi, j’ai accumulé des petites histoires coquines à raconter à mon homme. Je me suis fait un plaisir de les distiller petit à petit, un récit par jour, j’ai adoré, que plusieurs soirs de suite, mon homme me réclame sa petite histoire pour s’endormir avant de me faire l’amour avec beaucoup d’excitation. Cette semaine de séparation, a été des plus coquine pour moi, mais retrouver mon homme, lui préparer une petite soirée spéciale retrouvailles, et profiter de lui tous les jours depuis est bien plus savoureux encore!
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Protégé : Sainte Nitouche
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Protégé : Maîtresse Lilou
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Detox
Oh toi, mon petit carré de chocolat, j’ai souvent dit que tu serais la petite faiblesse qui me perdra. J’aime t’avoir en bouche, te laisser fondre sous ma langue, me délecter de tes saveurs. Je t’adore, avec tes goûts si raffinés, et si je m’écoutais je te dégusterai sans modération. Mais, il faut se rendre à l’évidence, il est dangereux pour moi de continuer sur cette voie. Je suis accroc, je m’en rends compte, mon corps te réclame mais si l’on regarde sur la balance, il y a aujourd’hui un déséquilibre. Je crois qu’il est venu le temps de m’éloigner de toi, essayer de maîtriser mes envies, résister à la tentation, même s’il n’est pas simple pour l’épicurienne que je suis de se sevrer de toi. Pour mon bien-être, mon équilibre, je préfère aujourd’hui privilégier d’autres saveurs, croquer dans les fruits qui n’ont rien de défendu, l’été m’offre sa pêche si juteuse, je vais m’en délecter. Mais ne t’inquiète pas, petit carré de chocolat, tu resteras mon pécher mignon, ce n’est pas un adieu, je prends juste un peu de distance, le temps de me sentir mieux, et lorsque l’équilibre sera rétabli, alors je sais que je pourrais de nouveau de temps en temps avoir le plaisir de te retrouver, pour peut être mieux te déguster, parce que d’une certaine façon, je crois que je t’aimerai toujours.
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Protégé : Compte rendu
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Mon voisin m’a mise dans son lit!
« Vas-y, allonges toi! » me dit mon voisin, alors que je suis devant son lit, que la couette n’est pas complètement relevée et que je peux distinguer 2 préservatifs emballés à proximité de l’oreiller! Il s’empresse aussitôt de les ramasser pour les ranger. J’avoue, ne pas oser m’allonger, je ne fais que m’assoir timidement. Après tout, je ne suis là que pour voir ce lit qu’il propose de nous donner, suite à son déménagement pour cause de divorce. Un troisième préservatif au pied du lit me confirme que sa nuit a du être chaude. Dans un tel contexte, je ne peux m’empêcher de me demander quel genre d’amant mon voisin pourrait être. Ce n’est pas la première fois que je me pose cette question, depuis sa séparation, il n’hésite plus à venir nous parler de ces filles dont il fait la connaissance sur des sites de rencontre et qu’il ramène chez lui parfois. « Je suis honnête, je ne suis pas prêt à me recaser tout de suite, mais je le dit très clairement, et j’en profite ça ne fait de mal à personne! ». Parfois, je me dis que je pourrais profiter de la situation et tenter de le séduire, j’ai toujours rêvé d’avoir un amant à proximité, peut être même qu’il n’attend que ça! J’ai toutefois du mal à rentrer dans un jeu de séduction avec lui, car je préfère ne pas tout mélanger, nous l’avons plus d’une fois reçu à la maison en tant qu’ami, et je ne souhaite pas qu’il en sache trop sur notre vie intime, c’est mieux ainsi.
J’ai cependant accepté de dormir dans son lit, enfin auprès de mon homme, une fois que celui-ci a été déménagé dans notre chambre, depuis le temps que je rêvais d’une occasion pour me débarrasser de ce vieux futon! Je n’ai pour autant pas pu me résigner à le jeter, ce dernier a été monté à l’étage, dans la petite alcôve que je me suis aménagée, en attendant d’avoir une belle chambre sous les combles, sait-on jamais qu’un amant vienne un jour visiter mon petit boudoir…
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Premières impressions
Je dois dire que ça fait le plus grand bien de prendre un nouveau départ, changer de routine et être motivée par un nouveau projet, de nouvelles perspectives! L’impression d’être comme un élève un jour de rentrée des classes. L’envie de tout faire bien, de tout préparer à l’avance. Le premier jour, j’étais tellement préparée, que j’avais imprimé le contenu en anglais du site de la nouvelle société qui m’emploie . Par le plus grand des hasard, mon voisin dans le RER m’a abordé, me précisant travailler pour cette entreprise et m’envoyant un mail de bienvenue plus tard dans la journée.
J’avais jusqu’à présent toujours travaillé pour des PME, et me voilà désormais au 4ème étage d’un immeuble, dans une multinationale, où les petits nouveaux ont droit à leur photo en home page de l’Intranet. Le badge est obligatoire, il y a des numéros sur chaque bureau pour se repérer et il est impossible de pouvoir dire bonjour à tout le monde en arrivant le matin. Il y a un service pour chaque petite chose dont on a besoin, et une femme de ménage qui vient tous les jours. J’ai l’impression d’être une petite fourmi dans un spacieux bureau avec une moquette bleue. Chacun vis sa vie, rempli sa mission et se précipite au restaurant inter-entreprise entre 12h et 14h. Parfois je me dis que parmi tous ces hommes, il y a peut être un internaute qui est venu se perdre sur ce blog, ou un de mes followers sur Twitter. Qui sait, peut être qu’un jour dans ces locaux j’oserai me laisser séduire par l’un de ces costume-cravate, c’est tellement craquant!
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Breaking news!
La nouvelle vient de tomber, me voilà embauchée pour une mission d’intérim jusqu’à fin mars! Cela correspond en tout point à ce que je voulais, je commence lundi, et même si cela signifie ne plus avoir autant de liberté, je suis ravie de ce nouveau challenge qui se présente à moi, je vais pouvoir perfectionner mon anglais et rester sur Paris, ce qui, je l’espère, me permettra de temps en temps de faire preuve de spontanéité, et pimenter agréablement mes fins de journées ;) Après plus de 2 mois à la maison, je vais pouvoir de nouveau jouer les « Working Girl » et concrétiser mes projets!
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Plaisirs et frustrations
Si, il y a quelques années, on m’avait dit que je serai devenue libertine, si on m’avait raconté quelques petites histoires croustillantes que j’ai eu la chance de vivre, je crois que j’aurai eu du mal à le croire. Le libertinage est vraiment une source d’épanouissement, il me permet de vivre mes envies, d’être moi même, d’assumer ma féminité et ma sexualité, au delà même de tout ce que j’aurai pu imaginer. Être libre m’apporte de beaux moments de complicité, et me donne la possibilité de découvrir de nombreux plaisirs, mais les choses ne sont pas toujours aussi simple et idyllique qu’on l’imagine, et souvent le plaisir s’accompagne de frustration.
Ouvrir la boite de Pandore, ça a toujours des conséquences, provoquer une rencontre, c’est prendre le risque que la personne que l’on découvre ne corresponde pas tout à fait à l’idée que l’on en avait. Notre ressenti se base sur ce que l’on perçoit d’une part de la personnalité de l’autre, mais aussi sur ce qui se passe lors de la rencontre des corps. Selon les rencontres on apprécie différemment l’alchimie physique, et/ou la complicité amicale qui se créé. Il en résulte des relations qui peuvent être envisagées dans la durée, ou pas, et on ne peut jamais tout savoir à l’avance, ça peut être source de frustration, mais ça fait parti du jeu. Parfois, la rencontre va au delà de ce que l’on espérait, un plaisir physique, des corps fusionnels, une intensité, une complicité, un délicieux moment partagé, l’envie de recommencer, de se revoir, encore et encore mais alors la distance, la disponibilité ou le fait de ne pas avoir de lieu adéquat, ne permettent pas de se voir comme on voudrait, et on peut être frustré de ne pouvoir disposer de ce plaisir, qu’on a pu goûté, à volonté.
La plus grande de mes frustration est peut être d’avoir beaucoup plus d’envies que l’homme que j’aime. J’adore faire l’amour avec lui, et la fréquence de nos ébats est tout à fait dans la norme d’un couple. Mais voilà, je suis coquine, et je n’aurai rien contre faire l’amour davantage. J’adorerai passer une journée entière sous la couette ou savoir qu’à tout moment, mon homme est susceptible de venir soulever ma jupe pour me prendre en levrette sur la table. Ce n’est pas dans son tempérament et sa nature, je sais que ces spontanéités sont peu probable, c’est comme ça, je ne peux lui reprocher et ça ne remet en aucun cas en cause tout l’amour que j’éprouve pour lui. Il n’est cependant pas simple d’essuyer des refus à mes sollicitations, même si avec quelques tenues affriolantes, je parviens parfois à mes fins. Quand la frustration est là il faut la gérer, et elle peut être accentuée par le fait de savoir que tant d’hommes aimeraient que leur femme soit plus coquine, alors que je me retrouve dans la situation inverse. J’ai du apprendre à canaliser mes envies, finalement je préfère ne pas réclamer un câlin plutôt que prendre le risque qu’il me dise non. Et puis j’ai aussi besoin de sentir qu’il me désire, alors j’ai pris l’habitude de moins entreprendre, ou d’être plus discrète dans ma façon de le provoquer, afin de le laisser venir à moi selon ses envies, ce qui me procure toujours beaucoup de plaisir. Ce décalage entre nos envies est probablement l’une des raisons qui m’a mené au libertinage et à la création de ce blog. J’exprime et je peux envisager ainsi, avec son consentement, toute sorte de coquineries. Mon homme adore recevoir mes petits: « Je rentrerai un peu plus tard, je ne serai pas très sage », savoir que j’ai eu du plaisir avec un autre s’avère être le meilleur moyen d’être assurée qu’au coucher, il va venir à moi avec une terrible envie de me baiser, et alors j’oublie complètement ce que c’est d’être frustrée.
Au final, on fait toujours le même constat: la qualité est bien plus savoureuse que la quantité!
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Dur de choisir
Parfois, j’ai un peu du mal à choisir entre deux, alors, en épicurienne que je suis, je finis par me dire:
pourquoi choisir? Autant avoir les deux! ;)