-
Libertine?
« Donc tu n’es pas libertine car une libertine n’a pas de clientèle ? »
Je suis moi, parfois libertine parfois escorte mais toujours libre de mes choix et de mes actes.
La différence entre les deux est très claire pour moi, cela fait 17 ans que je suis libertine, ça fait partie de mon ADN, c’est ce qui m’a permis d’acquérir de l’expérience, de savoir m’adapter aux situations. J’ai réalisé toutes mes envies que ce soit en terme de lieux insolites, de pratique, de configuration, de nombre et genre de partenaire, sans pour autant aller dans la surenchère. J’aime les choses simples, j’aime l’équilibre, j’aime construire des relations. J’aime ma zone de confort dans laquelle j’évolue, cela me permet d’être dans ma zone de génie, j’aime en sortir parfois aussi, pour l’adrénaline.
Je suis libertine quand j’écoute mes envies à moi, avec mes amants, mes partenaires de longue date, en sauna ou en club, ou encore en soirée multi avec mon mari. J’avoue qu’en tant que libertine, hormis les soirées, je ne fais plus beaucoup de nouvelles rencontres. J’ai déjà des partenaires de choix. J’ai besoin d’être séduite, d’avoir en face de moi une personne qui me plaît et qui saura me donner du plaisir ! J’ai éliminé tous les hommes qui ne pensaient qu’à leur plaisir sans se soucier du mien. Celui qui me contacte uniquement quand il a envie de jouir, mais qui veut juste se laisser faire et ne veut même plus me baiser. Et celui qui finalement me baisait si moyennement que je n’ai même pas écrit sur lui. En tant que libertine j’ai une exigence, MON plaisir et bien sûr je garde toute ma liberté.
Mes clients me paient pour que je me rende disponible sur un créneau horaire où nous pourrons nous voir. La contre partie financière leur permet de ne pas avoir à me séduire ou à me faire jouir. L’approche est plus directe. Mon but est de leur faire plaisir essentiellement. Si je n’ai pas de plaisir avec un client, il ne reviendra pas, je reste libre de choisir. Le feeling reste important car je reste moi, je dois être en confiance et respectée. Je ne pousse pas à la consommation, ce sont mes clients qui me contactent quand ils en ont envie. J’ai mes petits chouchous. Certains aiment me lécher ou me faire jouir, d’autres pas. Je connais les pêchers mignon de chacun. Ils m’aiment sensuelle et salope à la fois. J’adore être une bonne pute et bien les faire gicler. Je sais ceux qui vont aimer que je le dise et ceux qui n’aiment pas les mots crus. Je le sens, c’est ma zone de génie, être capable d’être celle qu’ils veulent avoir dans leur lit ou dans leur bras, un temps défini. Pour eux (sauf un) je ne suis pas Lilou, je suis Léa, l’escort occasionnelle au service de leurs désirs, une femme libre et épanouie qui assume et aime donner du plaisir aux autres…
Et mon mari dans tout ça, il adore tout ce que je lui raconte… Ça l’excite terriblement que j’assume complètement ce que je fais !
http://x.com/Lilou_libertine/status/1665764831318667264
-
Coming out
« Très joli blog, aura-t-on le droit à de nouveaux articles bientôt? »
C’est vrai mes écrits se font plus rares. Ce ne sont pas les rendez-vous coquins qui manquent.
C’est peut être que depuis que je reçois dans ma garçonnière, le déroulé d’un rendez-vous me paraît moins original ou particulier.
C’est peut être que je me sens moins libertine.
C’est peut être pour garder la confidentialité de ces moments d’intimité qui me sont confiés.
C’est peut être aussi que j’ai glissé petit à petit vers autre chose, avec toujours au centre de tout le plaisir et la liberté.
C’est peut être parce que cela peut paraître choquant ou tabou pour certains d’entre vous, que je n’ai pas osé l’écrire et le partager avec vous ici.
Oui peu de temps avant d’avoir ma garçonnière, j’ai basculé du côté obscur. Mon désir d’entreprendre, de gagner de l’argent, a rencontré mon envie de vivre de ma passion, d’être alignée, alors, j’ai osé.J’ai créé une fiche sur un site spécialisé, et je suis devenue Léa. TDS, Travailleuse du sexe. Cam girl proposant des vidéos, des photos, ou des petits rendez-vous virtuels de quelques minutes pour accompagner le plaisir de ces messieurs. Quel pied d’arrondir mes fins de mois en jouant avec mes sextoys devant la caméra. Pouvoir faire gicler plusieurs queues en quelques heures de « têtes à têtes » virtuels. D’assouvir les envies les plus simples ou les plus extravagantes. Assumer les mots crus, les tenues sexy et provoquantes, maitriser la langue, s’adapter à chacun, savoir exactement ce qu’il aime, ce qui lui plait et ce qu’il faut pour lui faire du bien. Me rendre compte des angles de caméras qui mettent en valeur mes seins ou mon cul. Je ne plais pas à tout le monde, mais je plais à certains et il ne fut pas difficile, d’avoir mon public, de me faire ma petite clientèle de réguliers. Certains ont parfois reconnu ou découvert Lilou. Je suis devenue une pute virtuelle et je m’amuse de ces contrastes entre toutes mes vies.
Quelle joie d’avoir signé le bail, d’avoir pu l’envisager et me l’offrir grâce à l’argent des cams, puis du compte Onlyfans ou Mym. Avoir un lieu à moi, c’était mon rêve depuis plusieurs années, et grâce à mes fans ou mes clients, c’est devenu réalité. Cela fait de moi une femme encore plus libre et épanouie. Quel plaisir de nouer de vraies relations à travers ces rendez-vous par caméras interposées, même si parfois, j’entrevois aussi les travers de cette activité : certains abusent de mon temps, de ma gentillesse, ne respectent pas leur parole, ne me règlent pas comme convenu… Peu importe, ce qui compte surtout, c’est de rester moi, de ne pas me forcer, de suivre mes désirs, mon plaisir, de dire non (souvent) si l’envie n’y est pas. L’argent ne fait pas tout, et puis, c’est une activité chronophage, qui au fil du temps me fatigue, ne me convient plus. Je fais régulièrement des pauses.
Parallèlement, dans ma vie réelle, certains hommes me considèrent comme une pute gratuite, viennent dans ma garçonnière, me baisent, réclament parfois sans succès fellation ou sodomie sans se soucier de mon plaisir, et repartent aussi vite qu’ils sont arrivés. Alors quitte à me considérer comme une pute, pourquoi ne finalement pas en être vraiment une, pas que pour l’argent, ni uniquement par fantasme, mais aussi par plaisir, parce que j’aime ça, cela m’excite, c’est très cérébral, cela fixe un cadre, cela défini les règles du jeu. Je suis libre de dire oui ou de dire non, de fixer mes conditions. Cela me donne de la valeur et l’envie de satisfaire mon client, de tout faire pour qu’il soit content, et qu’il ait envie de revenir, à partir du moment où il y a un bon feeling des deux côtés.
Après quelques mésaventures virtuelles, je tombe un jour sur l’annonce d’un homme qui recherche une escorte occasionnelle pour des rendez-vous réguliers, ça fait tilt. Je lui écrit. Pas de réponse, pas tout de suite. Mais l’idée a germé, je me dis que c’est peut être à moi d’écrire une annonce, sur qui je suis, ce que je veux, ce que je propose. « Escorte occasionnelle pour relation suivie ». C’est ainsi que le réel a remplacé le virtuel, que petit à petit en quelques semaines à peine, je me suis refait une clientèle. Des billets déposés sur mon bureau, en récompense de cette parenthèse de volupté confidentielle. Des moments de partage, de plaisir, où, une fois encore, je sais m’adapter à chacun, créer avec des clients le plus souvent réguliers des relations particulières et privilégiées.
Rester moi, sélective, libre, épanouie, heureuse d’offrir et de partager ces moments de plaisir. J’aime faire du bien à des personnes soigneusement sélectionnées, car il ne suffit pas de payer, j’ai toujours besoin de ce feeling, même si parfois j’accepte de me tromper. Du sexe tarifé, mais du sexe de qualité, des hommes qui apprécient le plus souvent qui je suis et ce que je propose, des bulles de bien être, de détente, de plaisir. Oui, il y a aussi des déconvenues, des personnes à qui je ne plais pas ou qui ne revienne pas, mais ça fait parti du jeu. Je ne me formalise pas, je me concentre sur le positif. Être capable d’aller à l’essentiel, de prendre l’initiative ou de la laisser, d’être à l’écoute des envies de l’autre, ce n’est pas donné à tout le monde.
Je ne me suis jamais sentie autant alignée, utile, à jouer les sexdolls, les salopes, les douces amantes selon l’envie. Faire du bien, pas qu’avec ma langue, mes mains ou mon corps, aussi en restant moi même, simple, entière et passionnée. Pas comme une vraie pro, à enchainer les clients ou avec un chronomètre. Etre différente, spéciale, c’est ce que j’aime et que j’ ai réussi à devenir pour certains… Des moments qui ont de la valeur, pour eux, mes clients réguliers, comme pour moi. Un équilibre gagnant gagnant des plus épanouissant…
Ps: Pour ceux d’entre vous qui seraient éventuellement intéressés par mes prestations ne cherchez pas, l’annonce a été supprimée, ma disponibilité étant limitée je ne fais plus vraiment de nouvelle rencontre.
Édit 2024: En ce moment je me concentre sur le virtuel et la vente de média personnalisé. N’hésite pas à me contacter sur Twitter si c’est susceptible de t’intéresser : https://x.com/SensuelleLea
-
Une page se tourne
L’impression de déménager, comme il y a presque un an. Faire les cartons, les descendre à la cave. Me rendre compte que j’ai beaucoup trop de chaussures. Heureusement la plupart de mes affaires sont déjà dans des boîtes en plastique. Impressionnant tout ce que j’ai pu ramener en ces lieux depuis 2 ans dans l’une ou l’autre de mes garçonnnières. Je change d’appart oui, tout en restant au même endroit.
Je dois dire au revoir à ce miroir que j’ai adoré regarder. Il a été le temoin de tant de plaisir et d’orgasmes, il a multiplié les points de vue. L’endroit va faire peau neuve, du sol au plafond. Un projet qui me rend heureuse et puis je trouverai bien un moyen de recréer un reflet avec peut être un miroir plus moderne.
Temoin de mille et un plaisirs à venir …
-
Le fist à l’improviste: on évite !
J’aime me faire doigter, certains sont très doués pour faire ressentir des sensations fortes, pouvant aller jusqu’à me faire gicler. C’est moins sympathique par contre lorsque le fist improvisé m’oblige à aller consulter…
Mercredi 15h, je suis en télétravail mais j’ai pris l’habitude de m’accorder quelques pauses coquines. J’accueille Frédéric pour un premier rendez-vous. Après quelques minutes de discussion nous nous abandonnons au plaisir. Il est très câlin et a envie de s’occuper de moi, il me lèche, me doigte et bientôt prends complètement possession de mon intimité. Il me dit qu’il adore ça et petit à petit il y met de plus en plus de doigts.
Je suis un peu surprise, pas forcément très à l’aise et en même temps curieuse de l’expérience, des sensations… Je l’invite à prendre du lubrifiant. C’est pour lui une première, il ne sait pas trop ce qu’il fait et je l’informe à un moment donné que ce n’est pas agréable, limite douloureux. C’est un mélange de sensations fortes et ce n’est pas la première fois que ces sensations intenses peuvent être à la limite de la douleur, je considère que cela fait partie du jeu. Me voilà cependant en train littéralement de dégouliner sous ses doigts, sous l’emprise de sa main, parfois complète en moi. Je me suis détendue, il m’a dit de l’informer si j’avais mal… Heureusement la douleur ressentie était courte et je suppose que c’est normal.
Nous continuons notre après midi de luxure entre discussions et pratiques plus classiques. Nous nous séparons sourire aux lèvres, heureux du plaisir partagé.
Seulement quelques heures plus tard, je me rends compte que je perds un peu de sang… Je n’ai plus vraiment de règles, et ça me pique un peu quand j’urine, je fais donc le rapprochement avec le fist. Je n’aurai peut-être pas dû.
Voilà comment 48h après, pour me rassurer, je me retrouve aux urgences pour une consultation de gynécologie ! Finalement plus de peur que de mal, pas de lésion interne et mon stérilet est bien resté en place ! Je me suis faite doigtée par un gynéco asiatique sympathique qui m’a rassurée, mais j’avoue retenir la leçon, le fist ça ne se fait pas à l’improviste. Parce que les petits asiatiques je préfère qu’ils me doigtent dans d’autres conditions qu’une consultation !
-
Baiser responsable
Libertiner, c’est s’exposer aux MST. J’ai déjà été exposée comme toutes les femmes sexuellement très active au HPV. C’est la partie la moins agréable du jeu, parce que c’est facile de se retrouver dans une situation à risque, ne serait-ce que simplement parce que pour moi il est inconcevable de sucer du latex. Il y a parfois, plus rarement, des accidents ou des partenaires irrespectueux et irresponsable. Il y a plusieurs années je me suis retrouvée dans un centre de dépistage car mon partenaire a joui en moi alors que je pensais qu’il avait un préservatif. J’étais choquée, car à l’époque désireuse de tomber enceinte de mon mari je ne prenais pas la pillule. Heureusement tout s’est bien terminé et je ne suis pas tombée enceinte ce mois là.
J’ai longtemps considéré ma sexualité comme un sujet intime et personnel, et je n’ai jamais osé avouer que j’étais libertine à mon médecin traitant ou ma gynécologue. Je leur demandais à l’occasion une ordonnance pour « faire le point sur les MST » sans en dire davantage. Depuis plusieurs mois, mon état d’esprit a changé et j’ai décidé d’oser mon coming out face au corps médical ! Comme je n’arrivais pas à en parler à ma gynécologue que je connais depuis trop longtemps, j’ai décidé de consulter une autre gynécologue plus proche et plus jeune, à qui je l’ai dit d’emblée. Mon médecin traitant n’est toujours pas dans la confidence, j’ai utilisé l’application Qare pour demander à un médecin que je ne connaissais pas ma dernière ordonnance de dépistage.
Et puis un jour on m’a parlé de la PREP, c’est un traitement préventif que l’on prend entre 24 et 2h avant un rapport sexuel, puis 24h et 48h après, il protège du VIH.
J’ai donc pris rendez-vous dans un Cegidd en hôpital car c’est là où on peut être accompagné pour mettre en place le traitement. Les médecins peuvent aujourd’hui prescrire ce traitement mais peu sont désireux de le faire ou formés sur le sujet. Cela devrait se démocratiser avec le temps.
Toujours est-il qu’avant le rendez-vous, je suis allée en laboratoire faire tous les examens et qu’ensuite le médecin m’a reçu en consultation. Cela a duré près d’une heure où elle m’a parlé de toutes les MST et des solutions pour se protéger. Elle m’a proposé un vaccin contre la gonococcie qui provoque des infections urinaires. Je suis déjà vaccinée contre les Hépatites.
Que ce soit dans le laboratoire ou dans le bureau du médecin, je me suis retrouvée face à des femmes bienveillantes qui m’ont félicité d’entamer cette démarche, car c’est important de se protéger et de protéger les autres. J’avoue aujourd’hui avec le recul, je regrette d’avoir ressenti ce tabou sur ma sexualité vis à vis du corps médical. Pour le moment ce sont surtout des hommes homosexuels qui vont consulter. Avant de partir, elle m’a dit : si vous connaissez des femmes comme vous, parlez en, car aujourd’hui beaucoup de choses sont possibles pour se protéger !
Femme ou homme, nous sommes tous concernés et je ne peux que vous encourager à vous informer sur les solutions qui peuvent vous protéger et protéger les autres !
-
Nouvelle Nuit Demonia le 4 février 2023
Envie de vivre une expérience hors du commun, que ce soit déjà ton univers ou simplement une découverte, la prochaine nuit Demonia se déroulera le 4 février prochain dans un nouveau lieu au Yoyo / Palais de Tokyo. Cette soirée vous embarquera pour un voyage fétichiste unique sur le thème de l’univers asiatique.
(Re) Découvrir mes récits de mes Nuits Demonia :
-
Valérie et Tom
Nous avons discuté avec Valérie et Tom dès notre première inscription sur Wyylde. Elle, une femme blonde sublime, son mari asiatique… (mon premier fantasme plus jeune, j’ai vécu ma première fois avec un asiatique) Les échanges étaient fluides mais le covid a laissé les choses en suspens, et c’est plusieurs mois plus tard, à l’été 2021 que nous avons repris contact pour cette fois nous rencontrer dans un sauna libertin !
Ce que j’aime avec Valérie, c’est qu’en plus d’être une très jolie femme, elle sait ce qu’elle veut et elle n’y va pas par quatre chemins. Dès notre première rencontre au sauna, elle affiche un large sourire et des yeux qui pétillent ! Elle a rapidement envie de s’isoler à quatre dans un coin câlin, ce qui n’empêche pas le temps de discuter pour faire connaissance.
Par la suite lorsque le couple nous invite chez eux, elle me propose assez naturellement de visiter la chambre pendant que les hommes restent discuter sur le canapé. Elle me regarde avec beaucoup d’envie et ça fait très plaisir qu’une aussi belle femme exprime son désir pour moi.
Tout est fluide, à chaque fois, nos robes tombent vite sur le sol. Elle complimente ma poitrine, elle aime jouer avec. Je carresse ses seins également, elle n’y est pas insensible. On se plaît beaucoup, on l’exprime et ça se ressent dans le plaisir que nous prenons réciproquement.
Nous aimons nous caresser, nous lécher, c’est divin de pouvoir le faire simultanément. On s’installe sur le côté pour être à l’aise, j’adore lécher sa chatte, pendant que je sens sa langue frétiller sur la mienne et en profiter à volonté car nous aimons faire durer le plaisir. Elle exprime son plaisir par de petits gémissements…
Puis les hommes nous rejoignent sur le lit. Tom va s’occuper de moi et mon homme de Valérie. Les femmes sont d’abord à l’honneur, nous nous faisons léchée avec délice. Nous pouvons en profiter longtemps, ils adorent ça et je ne tarde pas à jouir.
La première fois dans le sauna, mon homme n’a pas osé baiser Valérie malgré le désir qu’elle a exprimé pour lui, mais une fois chez eux, et après une délicieuse séance de fellation, elle prend un préservatif et s’empale sur sa queue. C’est la première fois que mon homme baise une autre femme et c’est beau à voir et à entendre.
Tom, lui, enlève mes bas, il aime sentir directement ma peau, il vient sur moi tandis que mes jambes sont relevées et maintenues par ses épaules. J’adore cette position, la pénétration est profonde, je peux bien sentir sa queue qui me donne de bonnes sensations.
Chaque couple varie les positions, nous profitons longuement les uns des autres en étant heureux d’être à la fois acteur et spectateur de tout ce plaisir. Mon homme joui en pleine action, tandis que Tom aura envie de finir dans ma bouche…
J’aime beaucoup ces soirées libertines avec Valérie et Tom…
-
J’ai perverti mon mari
Pendant longtemps, j’ai libertiné seule, en racontant mes aventures à mon mari en rentrant à la maison, mais depuis un peu plus d’un an et demi, nous nous organisons pour faire garder les enfants et j’embarque mon homme dans des soirées avec d’autres couples…
Enfin, techniquement c’est lui qui conduit et j’avoue que c’est très agréable de vivre ensemble ces parenthèses enchantées où tout est possible. Rentrer le sourire aux lèvres en partageant nos impressions sur le trajet retour.
Au début, il aimait rester observateur ou donner du plaisir à une femme, sans forcément aller plus loin. Nous avons rencontré 2 couples qui ont accepté le fait que mon homme n’avait pas encore franchi le cap de baiser une autre femme.
J’ai donné rendez-vous à mon homme dans ma garçonnnière pendant une pause déjeuner pour que nous testions les préservatifs, lui qui n’en utilisait pas depuis plus de 20 ans. Puis le cap de l’echangisme fut franchi, naturellement et en toute simplicité pour le plaisir de tous.
Ces deux couples sont devenus des personnes que nous avons plaisir à voir régulièrement pour notre plus grand plaisir, et j’aime beaucoup voir ou entendre mon homme avec une autre femme pendant que je suis moi-même occupée avec un autre homme et/ou une autre femme.
J’ai souvent eu envie d’écrire sur eux, mais j’aime aussi quand mon écriture est fluide, évidente et je n’ai pas toujours le temps de me poser pour faciliter cela. Mais il se pourrait que dans mes prochains articles je vous dévoile enfin le plaisir que nous pouvons partager avec eux…
-
Soirée improvisée
« Coucou!
Pour info, on est invités tous les deux chez un couple! Si ça te dit ça peut vraiment être sympa, ils sont cools comme nous et addict lol. Mais si ça ne te dit pas ce soir, on reste sur ce qu’on a dit… »
Voilà comment, je me suis retrouvée dans la voiture d’Esteban à faire une heure de route pour rencontrer un couple dont je ne savais quasiment rien!
Elle pétillante, chaleureuse, pulpeuse et très souriante. Lui, plus petit, taquin et joueur… L’amant habituel devait passé chez eux ce soir, mais son rendez-vous de l’après midi s’est décalé compromettant sa disponibilité.
Nous nous installons sur le canapé pour faire connaissance. Le mari: « Tu es dominante toi ou plutôt soumise? Parce que si tu aimes ça, elle peut te dominer? »
Je suis joueuse, j’aime vivre des expériences, varier les plaisirs. Le couple est libertin depuis plus de 20 ans. Le mari est candauliste, il aime voir sa belle se faire prendre par d’autres hommes. Ils sont plus habitués à des pluralités masculines. Elle est gourmande et insatiable. Très sexy dans une robe moulante, dévoilant un collant résille fantaisie ouvert. Cela fait des années qu’ils ne se sont pas retrouvés à quatre comme ça.
Alors que nous partageons nos expériences libertines, elle lit un message de son amant, il est 22h, il est désormais libre… Je lui réponds instantanément: « Si tu souhaites qu’il nous rejoigne, je n’y vois aucun inconvénient! » Elle ne sait pas s’il va accepter, il a toujours vu le couple seul. Le temps de se préparer, il sera là d’ici 40 minutes.
Nous l’attendrons pour débuter les jeux coquins… Elle, curieuse de voir ce qui se cache sous ma robe décolletée plus sage que la sienne… Elle y découvre un porte jarretelle et m’invite à me mettre à 4 pattes sur le canapé. Je lui offre ma croupe. Le mari commente: « Elle va te bouffer le cul, elle commence toujours par ça, elle adore ça! » Elle en profite également pour lancer une première fessée, plutôt sage, elle comprend qu’elle a mon consentement pour poursuivre.
Elle prend possession de moi, me retourne, me lèche, m’agrippe, me claque, me tient par les cheveux, la gorge. Elle maitrise le sujet, je le sens, et je me laisse complètement emportée par son emprise, sous le regard amusée des hommes qui restent pour le moment spectateurs.
J’ai aussi envie d’elle, de la déshabiller, de la caresser, la titiller, la lécher… Elle semble apprécier. La voilà assise sur le canapé, moi à quatre pattes la tête entre ses cuisses à lui lécher la chatte lorsque le mari décide de venir me claquer les fesses. Il y va un peu plus fort, des deux mains. L’assemblée s’exclame: « Ah tu marques bien, on voit littéralement la trace de la main! » Esteban immortalise l’instant, autorisé par nos hôtes à sortir son téléphone portable.
Le couple sort ensuite de sa valise magique des petits accessoires pour répondre à notre curiosité: cravache, paddle, pinces à tétons et aspire tétons… J’essaie tout ça avec amusement, les sensations ressenties, ne sont pas aussi douloureuses que je pouvais le craindre.
Mais ce que je préfère, ce qui me transporte vraiment, c’est quand elle m’attrape par les cheveux ou m’agrippe par la gorge à m’en couper le souffle, je me laisse portée par ce qu’elle propose, ça me fait rapidement lâcher prise et j’aime cela. Elle tente les gifles aussi, m’invite à faire de même sur elle, me montre comment lui saisir la gorge, la précision du geste, la pression à avoir. J’aime apprendre.
Esteban se joint ensuite à nous et la léchera longuement pendant que je lui caresse les seins, l’embrasse, et que mari et amant discutent sur le canapé. J’indique à l’amant qu’il peut se joindre à nous s’il le souhaite, il me remercie de lui faire part de mon consentement avisé et préfère encore un peu rester spectateur, c’est la première fois qu’il la voit jouer ainsi avec d’autres. Elle profite toujours des coups de langues d’Esteban, de sa fougue et de sa gourmandise, elle n’est pas très habituée à recevoir autant, elle est presque gênée, elle s’excuse presque de ne pas réussir à jouir.
Puis l’amant se décide à nous rejoindre, nous voilà désormais tous les quatre sur le matelas installé au milieu du salon. Les femmes au milieu, les amants de part et d’autre, les langues se mélangent, les mains carrèssent ou mettent en branle, pour le plus grand plaisir du mari, ravi d’avoir son porno à la maison. Elle commence à chevaucher son amant, pendant que je prend Esteban en bouche. Puis nous échangeons les hommes, l’occasion pour moi de goûter à la belle queue de ce beau métisse. Lui aussi me saisi à la gorge ou me fesse. J’ai envie qu’il me « baise sale » pour reprendre l’expression du mari, mais je n’ose lui demander et l’absence de préservatif à proximité m’interroge et me fait hésiter. Esteban de son côté, protégé, baise notre hôte avec vigueur.
Le mari nu vient ensuite se positionner près de moi, il a envie que je le suce, que je lui aspire la queue le plus possible. Il me doigte fort, presque jusqu’à ce que je je gicle. « Je veux te prendre en levrette » il me baise ensuite à quatte pattes jusqu’à épuisement.
Il est pas loin de 4h lorsque nous reprenons nos esprits. Nous partageons nos ressentis tout en dégustant la tarte aux mirabelles faites par Esteban. Le mari trouve que j’aurai pu aller plus loin dans la découverte. Peut-être une prochaine fois… Nous remercions nos hôtes et prenons congés.
Sur le chemin retour, nous debriefons avec Esteban. Lui aussi a vécu quelques premières fois ce soir: voir deux femmes ensemble ou se faire sucer par deux femmes en même temps. Il me remercie d’avoir accepté l’invitation. L’un comme l’autre nous sommes toutefois un peu resté sur notre faim, car il a fallu attendre pas mal de temps pour passer aux coquineries et nous nous sommes adaptés à la situation.
Personne n’aura joui, jusqu’à ce qu’il se gare devant chez moi et que je lui propose une petite gaterie avant de rentrer à la maison…
Plus de photos de la soirée (et bien plus encore) sur mon :
-
Avec le cœur ?
Comment créer une histoire quand il n’y a pas les mots qu’il faut pour l’écrire ?
Oui j’ai ressenti des choses pour toi, mais est-ce suffisant pour pouvoir créer quelque chose qui n’existe pas ? De l’amour en pointillé. Doit-on consacrer du temps à un « nous » lorsqu’il n’y a que des bribes de temps en temps ?
Comment donner de l’espace à une relation quand on ne sait pas dans combien de temps sera le prochain message, le prochain moment…
Je me suis posée beaucoup de questions, pourquoi j’ai ressenti cela? Était-ce le miroir de ce que tu degageais en me regardant? Ou est-ce que ton regard était si intense en réponse à ce que moi je suis capable de donner ?
À quoi ça sert d’avoir un coup de cœur si on ne peut pas vivre de relation ?
Tu as raison, j’attends peut être beaucoup, c’est plus qu’un amant que j’aimerai, mais c’est parce que je crois que j’ai beaucoup à donner. Mais peut-être pas assez pour toi, car je suis mariée, et je ne peux pas tout te donner.
Alors je donne à plusieurs hommes, parce que mon amant idéal n’existe pas, ou qu’il est déjà dans mon lit mais que j’en veux encore plus.
Parce que ces hommes peuvent m’offrir de leur temps et de leur envie. Ils sont venus à moi pour créer ces espaces de plaisir.
J’aime les choses simples bien plus que les compliquées.
J’aime la vibration des corps peut être plus que les frissons des émotions.
Et je compose avec cela… une vie où je suis épanouie.